(ABM FN) Proximus a annoncé ce mardi soir en après-bourse le rachat d’Edpnet, qui poursuivra ses activités en tant qu'entité indépendante au sein du groupe Proximus.

"Dans le cadre de la réorganisation judiciaire d'Edpnet, Proximus annonce que le Tribunal d'Entreprise de Termonde a validé son offre de reprise. En conséquence, Proximus acquerra les activités et les actifs de la société belge edpnet nv et de la société néerlandaise edpnet bv", a déclaré l’opérateur.

Fournisseur d'accès Internet, Edpnet est un opérateur indépendant présent en Belgique et aux Pays-Bas, client de gros de Proximus depuis de nombreuses années.

Bien que principalement axée sur le marché des consommateurs, l'entreprise est également active dans le segment des PME, et dessert environ 46.000 clients pour l'internet fixe et environ 13.500 pour le mobile (à l'exclusion du M2M).

"Avec une répartition géographique équilibrée et un nombre croissant de clients utilisant la fibre optique, l'entreprise a démontré sa capacité à construire une base de clients fidèles et à attirer de nouveaux clients dans un segment de marché spécifique", a commenté Proximus.

En octobre 2022, edpnet a sollicité une protection contre ses créanciers. En tant que prestataire de services clé et l'un des principaux créanciers d'edpnet, Proximus a suivi de près l'évolution du dossier. La décision du tribunal du 12 janvier 2023 d'ouvrir une procédure de réorganisation judiciaire de type 3, dans la perspective d'organiser un potentiel transfert d'activités sous autorité judiciaire, a conduit Proximus à introduire une offre contraignante de 20,5 millions d'euros.

Avec la décision de justice rendue aujourd'hui, Proximus acquiert 100 pour cent des activités et des actifs d'edpnet nv et d'edpnet bv.

Dans les semaines à venir, les clients d'edpnet seront personnellement informés de l'acquisition et des aspects pratiques dont ils devront tenir compte pendant la transition. En tout état de cause, tous les clients conserveront leurs services et avantages actuels et pourront utiliser les réseaux Gigabit de Proximus, ainsi que profiter des futures innovations de Proximus, a encore déclaré l'entreprise ce mardi.

Cette acquisition permet à Proximus de desservir des segments de marché dans lesquels elle dispose encore d'opportunités de croissance.

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(ABM FN) La bourse de Bruxelles a clôturé en forte hausse ce mardi, à l’image du Bel20 qui a gagné 1,5 pour cent à 3.685 points. 

L’indice vedette a toutefois lâché du terrain en fin de séance, après avoir renoué avec les 3.700 points en matinée.

La journée a notamment été marquée par l’annonce, relativement attendue par les suiveurs du dossier, d’une OPA du géant américain Liberty Global sur Telenet, sa filiale belge qu’il détient déjà à hauteur de 59,18 pour cent.

Alors que Telenet bondissait de 39 pour cent dès la reprise de la cotation en milieu d’après-midi, Proximus a bénéficié de ce vent sectoriel pour s’apprécier de 5,5 pour cent, tout comme Orange Belgium.

A retenir aussi le bon comportement des valeurs financières. Les inquiétudes des investisseurs quant à l’état du secteur bancaire semblent se dissiper, pour l’heure tout du moins.

"Une certaine accalmie est revenue sur les marchés financiers, même si toutes les inquiétudes ne sont pas encore levées", a commenté dans ce sens Bernard Keppenne, économiste en chef de CBC Banque.

Si l'analyste est d’avis que tout n’est pas encore réglé, "les décisions prises ce week-end ont permis de calmer les tensions, tandis que certaines leçons ont été tirées de la crise de 2008".

"Cet épisode laissera des traces et de nouvelles réglementations seront nécessaires, aux Etats-Unis en particulier", ajoute Keppenne.

En attendant, tous les regards des investisseurs sont tournés vers la FED, qui doit rendre demain soir à 19H00 (heure belge) sa décision quant à ses taux directeurs. A plus de 80 pour cent, les analystes tablent sur une hausse limitée de 25 points de base.

Du côté des taux justement, le rendement du deux ans américain reprenait plus de 20 points de base au-dessus des 4 pour cent en début de soirée. Même topo de notre côté de l’Atlantique.

A noter que l'indice Zew, du nom de ce baromètre allemand qui mesure le moral des acteurs économiques du pays, a baissé pour la première fois en six mois, reflet de la dégradation du sentiment en marge de la crise des banques.

Sur le marché des changes, l’euro poursuit sa marche en avant, gagnant 0,5 pour cent à 1,077 dollar.

Du côté de l'énergie, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mai progressait de 0,8 pour cent à 74,3 dollars à la clôture des indices européens. Au même moment, les prix européens du gaz se redressaient à 41 euros le mégawattheure.

Actions en hausse et en baisse

Au sein du Bel20, Proximus a signé la plus forte hausse de la séance à 8,9 euros. UBS a annoncé avoir retiré l’action de l’opérateur de sa liste de vente. Une décision qui s’accompagne toutefois d'une réduction de l'objectif de cours à 8,2 euros.

Mention spéciale également à KBC qui s’est adjugé 3,1 pour cent. L'autre valeur financière de l’indice, Ageas, a pris pour sa part 2,7 pour cent.

Hors indice principal, Immobel a bondi de 4,7 pour cent.

Shurgard, dont la cotation a été suspendue pour cause d'incident technique, a gagné 1,2 pour cent.

Intervest Offices & Warehouses a perdu pour sa part 1,3 pour cent. KBC Securities a abaissé sa recommandation et son objectif de cours.

Parmi les plus petites valorisations référencées dans le BelSmall, Onward Medical a progressé de 5,5 pour cent, là où Ekopak, le spécialiste de l’épuration, a cédé 1,3 pour cent.

Pendant ce temps à Wall Street

A la clôture des indices européens, le vert était également de mise à New York, où le S&P 500 gagnait 0,7 pour cent.

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(ABM FN) Voici les principaux points à l'agenda financier belge jusqu'au mercredi 29 mars 2023.

MERCREDI 22 Mars 2023
07:00 Titan Cement - Résultats annuels
00:00 Nyxoah - Résultats annuels

JEUDI 23 MARS 2023
00:00 Euronav - Assemblée générale extraordinaire des actionnaires
00:00 Nyxoah - Journée des investisseurs
00:00 Celyad - Résultats annuels
00:00 IBA - Résultats annuels
00:00 Tessenderlo - Résultats annuels

VENDREDI 24 MARS 2023
17:45 WEB - Résultats annuels

LUNDI 27 MARS 2023
- Aucun point à l’ordre du jour

MARDI 28 MARS 2023
- Aucun point à l’ordre du jour

MERCREDI 29 Mars 2023
00:00 Fluxys - Résultats annuels
17:45 Banque Nationale - Résultats annuels

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(ABM FN) Suspendue depuis jeudi midi par la FSMA, la cotation de Telenet a repris ce mardi à 15h30. Dès la reprise, la valeur bondissait de 40 pour cent, et ce en marge de l’annonce de l’offre de rachat par l’américain Liberty Global.

Vers 16h00, l’action se traitait à 21,2 euros, soit un peu moins que les 22 euros offerts par le géant américain pour acquérir le solde des actions qu’il ne détient pas encore.

Liberty détient déjà une participation de 59,18 pour cent dans sa filiale belge, tandis que Telenet détient 3,12 pour cent de ses propres actions.

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(ABM FN) Liberty Global a lancé ce mardi une offre volontaire et conditionnelle de rachat sur les actions Telenet qu'elle ne possède pas encore.

Liberty offre pour ce faire 22,00 euros par action Telenet en cash, ajustés afin de tenir compte du dividende proposé qui sera payé par Telenet avant la clôture de la transaction.

Ce prix de reprise représente une prime de 59 pour cent par rapport au dernier cours de clôture de Telenet, le 15 mars.

La cotation de l’action Telenet est suspendue depuis jeudi dernier, alors que les investisseurs s’attendaient à une offre publique d'achat de la part de l'actionnaire principal américain.

Liberty détient déjà une participation de 59,18 pour cent dans l’opérateur, tandis que Telenet détient 3,12 pour cent de ses propres actions.

Le dernier cours de l'action Telenet pointait à 15,20 euros jeudi dernier.

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(ABM FN) La bourse de Bruxelles maintient la cadence ce mardi après-midi. Vers 14h00, le Bel20 gagnait toujours près de 2 pour cent, de peu sous les 3.700 points.

Au sein de l’indice vedette, seule la biotech Galapagos évolue dans le rouge, lestée de 0,5 pour cent.

Pour le reste, que du vert, avec une mention spéciale à KBC qui bondit de 4,5 pour cent. L'autre valeur financière de l’indice, Ageas, prend 2,3 pour cent.

Nouvelle hausse pour Proximus qui gagne 3,1 pour cent à 8,7 euros, et ce alors qu'UBS a retiré l’action de l’opérateur de sa liste de vente. Cette décision est toutefois conjuguée d'une réduction de l'objectif de cours à 8,2 euros.

Hors indice principal, c'est le statu quo en ce qui concerne Telenet, dont la cotation boursière reste suspendue. Même topo pour Shurgard, en raison de problèmes techniques sur l'une de ses plates-formes de compensation.

Intervest Offices & Warehouses perd 1,5 pour cent après que KBC Securities ait abaissé sa recommandation et son objectif de cours. 

Immobel gagne en revanche près de 7 pour cent. Bekaert et Euronav sont également très bien orientés.

Parmi les plus petites valorisations référencées dans le BelSmall, Onward Medical progresse de 4,8 pour cent, là où Ekopak, le spécialiste de l’épuration, abandonne  1,6 pour cent.

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(ABM FN) Les marchés boursiers américains vont ouvrir dans le vert ce mardi, les contrats à terme sur le S&P 500 progressant de 0,9 pour cent à une demi-heure de l'ouverture.

Lundi, les indices new-yorkais ont clôturé en hausse, et ce en marge du rachat annoncé dimanche de Credit Suisse par son compatriote UBS.

Désormais, l’attention des investisseurs se porte sur la réunion de deux jours de la Réserve fédérale, dont la décision sur les taux sera annoncée mercredi soir.

Le célèbre investisseur activiste Bill Ackman, de Pershing Square, a appelé l'institution monétaire à suspendre ses hausses de taux, tandis qu'Elon Musk, le patron de Tesla et de Twitter, souhaite même une baisse de 50 points de base.

La majorité des analystes table toutefois sur une hausse des taux de 25 points de base, laquelle porterait le taux dans une fourchette de 4,75 à 5,00 pour cent.

"La Fed est confrontée exactement au même dilemme que la BCE la semaine dernière, à savoir, lutter contre l'inflation tout en évitant les turbulences sur les marchés financiers", a commenté l'économiste Luc Aben de Van Lanschot Kempen.

"Nous nous attendons à ce que la Fed choisisse finalement une solution intermédiaire. Certes, les taux d'intérêt augmenteront, mais pas de 50 points de base, chose que le président de la Fed, Jerome Powell, n'excluait pas il y a une douzaine de jours en regard des données économiques solides", rappelle l'économiste.

A noter que demain, l'attention se portera également sur les prévisions de taux d'intérêt de la Fed, ou "dot plot", et sur le nombre de hausses de taux probables cette année. En décembre, les responsables politiques de la Banque centrale tablaient encore sur des taux moyens de 5,10 pour cent en 2023 et de 4,10 pour cent en 2024.

En ce qui concerne les indicateurs macroéconomiques, ce mardi est assez calme, seules les ventes de logements existants aux États-Unis pour le mois de février étant à l'ordre du jour.

Du côté de l’énergie et des devises, l'euro progresse de 0,5 pour cent à 1,078 dollar, et le baril de WTI de 1 pour cent à 68,66 dollars.

Actualités des entreprises

Credit Suisse, qui est également coté aux États-Unis, a vu sa valeur fondre de 53 pour cent lundi et est donné en baisse de 2 pour cent à l'ouverture.

La First Republic Bank a également connu une journée difficile lundi, chutant de 24 pour cent. Ce mardi, la valeur est donnée en hausse de 23 pour cent, grâce à des rapports indiquant qu'un soutien financier supplémentaire pourrait être accordé par de grandes banques telles que JPMorgan Chase. La semaine dernière, 11 grandes banques américaines ont déjà injecté quelque 30 milliards de dollars dans l’établissement en difficulté.

A noter encore que Tesla prend plus de 2 pour cent en avant bourse. Moody's a annoncé avoir relevé le rating du constructeur à Baa3. Cela signifie que Tesla n’est plus considéré comme un émetteur spéculatif.

Dernière clôture à Wall Street

Lundi, le S&P 500 a gagné 0,9 pour cent à 3.951,57 points, le Dow Jones 1,2 pour cent à 32.244,58 points et le Nasdaq 0,4 pour cent à 11.675,54 points.

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(ABM FN) Les indices boursiers européens progressent vivement ce mari, dans l'attente de la décision sur les taux d'intérêt de la Fed prévue demain.  

Vers midi, l'indice Europe 600 STOXX gagnait ainsi 1,6 pour cent à 443,00 points, le DAX allemand 1,8 pour cent à 15.209,50 points, le CAC 40 français 1,7 pour cent à 7.133,96 points et enfin le FTSE britannique 1,4 pour cent à 7.507,14 points.

De l'avis de Simon Wiersma, gestionnaire d'investissement chez ING, "la question de savoir si le calme a réellement fait son retour sur les marchés dépendra de l'issue de la réunion de politique générale de la Fed demain soir, et de l'évolution du secteur financier".

"Les plus grandes inquiétudes concernant le risque de contagion dans le secteur bancaire semblent toutefois s'être dissipées", indique Wiersma, “ce qui est selon nous justifié". 

"La source des problèmes des banques en difficulté est d'un ordre très différent de celui de la crise financière. Et avec les valorisations actuelles, des opportunités se présentent à nouveau, dans un secteur en difficulté", ajoute-t-il.

RBC Capital Markets, selon qui les récentes baisses de cours des valeurs bancaires européennes donnent lieu à de nouvelles opportunités d'achat, abonde dans le même sens.

Pour ce qui est de la réunion de la Fed mercredi, le baromètre FedWatch du CME montre que 83,4 pour cent du marché table sur une hausse de 25 points de base des taux, là où 16,6 pour cent tablent sur le statu quo monétaire.

Peter Oppenheimer, stratège chez Goldman Sachs, est lui d’avis que la Fed ne relèvera pas ses taux d'intérêt cette semaine, en raison des turbulences qui secouent le système bancaire.

Michael Hewson, analyste chez CMC Markets, estime pour sa part que la Fed augmentera ses taux de 25 points de base. "Sans quoi, la Fed risque de montrer qu'elle se préoccupe davantage de la stabilité financière que de l'inflation". Une baisse des taux est par ailleurs totalement déconseillée, selon Hewson.

Publié ce matin, l'indice de confiance allemand ZEW qui mesure le moral des investisseurs pour l'avenir a reculé de 28,1 en février à 13,0 en mars, contre 17,8 anticipé. Le sous-indice du moral quant à la situation actuelle pointe à -46,5, contre -45,1 en février et -44,3 attendu.

Aux États-Unis, seules les ventes de logements existants sont prévues aujourd'hui.

Du côté de l'énergie, les prix du pétrole progressent. Le contrat à terme West Texas Intermediate pour livraison en avril prend ainsi 1,3 pour cent à 68,72 dollars, tandis que le Brent pour livraison en mai augmente de 1,2 pour cent à 74,67 dollars.

Sur le marché des changes, l'euro se traite à 1,0751 dollar contre 1,0722 en début de journée ou encore 1,0720 hier soir.

Actualités des entreprises

RWE, qui s'attend à ce que ses résultats soient sous pression en 2023 par rapport à l'année précédente, mais que son dividende devrait augmenter, gagne 2 pour cent.

A l'issue d'une enquête approfondie, la Commission européenne a approuvé lundi l'acquisition par Orange de VOO et Brutélé en Belgique. L’action Orange Belgium progresse de 1 pour cent.

S&P Global Ratings a abaissé à “négative” la perspective assortie au rating A- conféré à la dette du groupe bancaire. Le cours de l'action gagne 4 pour cent à Zurich.

Vers une ouverture en hausse à New York

Les marchés boursiers américains devraient ouvrir en hausse ce mardi, les contrats à terme sur l'indice S&P 500 progressant de 0,6 pour cent.

Hier, ce même S&P 500 a gagné 0,9 pour cent à 3.951,57 points, le Dow Jones 1,2 pour cent à 32.244,58 points et le Nasdaq 0,4 pour cent à 11.675,54 points.

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(ABM FN) La tendance est au retour à l'optimisme ce mardi matin à la bourse de Bruxelles, où le Bel20 progresse de 1,9 pour cent à 3.699,61 points.

Les analystes de KBC notent qu’il y a plusieurs indicateurs macroéconomiques au menu ce mardi, même si le plus important reste la réunion de la Réserve fédérale demain.

Peter Oppenheimer, stratège en chef pour les actions mondiales et responsable de la recherche sur les investissements internationaux chez Goldman Sachs, est d’avis que la Fed ne relèvera pas ses taux cette semaine en raison des tensions qui pèsent sur le système bancaire.

Le baromètre FedWatch du CME montre en effet que 83,4 pour cent du marché table sur une hausse de 25 points de base des taux, contre 16,6 pour cent des sondés qui tablent sur le statu quo monétaire.

Michael Hewson, analyste chez CMC Markets, est d’avis que la Fed augmentera les taux d'intérêt de 25 points de base. "Sans quoi, la Fed risque de montrer qu'elle se préoccupe davantage de la stabilité financière que de l'inflation". Une baisse des taux est par ailleurs totalement déconseillée, selon Hewson.

Selon RBC Capital Markets, les récentes baisses de cours des actions bancaires européennes offrent de nouvelles opportunités d'achat.

Sur le marché des changes, l'euro progresse légèrement à 1,0745 dollar.

Actions en hausse et en baisse

Au sein du Bel 20, l’ensemble des composants évoluent dans le vert, avec une mention spéciale à KBC qui bondit de 5 pour cent. Autre valeur financière, Ageas prend 2,3 pour cent.

Nouvelle hausse pour Proximus qui prend 1,7 pour cent, et ce alors qu'UBS a retiré l'action de sa liste de vente. Cette décision est toutefois conjuguée d'une réduction de l'objectif de cours à 8,2 euros.

Statu quo en ce qui concerne Telenet, dont  la cotation boursière reste suspendue. Même topo pour Shurgard, en raison de problèmes techniques sur l'une de ses plates-formes de compensation.

Intervest Offices & Warehouses perd 1,5 pour cent après que KBC Securities ait abaissé sa recommandation et son objectif de cours. Immobel gagne en revanche 4 pour cent. Bekaert et Euronav sont également bien orientés.

Parmi les plus petites valorisations référencées dans le BelSmall, Biocartis gagne 2 pour cent, tandis que Biotalys perd 1,3 pour cent.

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(ABM FN) Le marché s’attend à ce que la Réserve fédérale américaine relève son taux directeur de 25 points de base ce mercredi, pour le porter dans la fourchette de 4,75 à 5,00 pour cent.

Le baromètre FedWatch du CME montre en effet que 83,4 pour cent du marché table sur une hausse de 25 points de base des taux, contre 16,6 pour cent des sondés qui tablent sur le statu quo monétaire.

"La Fed est confrontée exactement au même dilemme que la BCE la semaine dernière, à savoir, lutter contre l'inflation tout en évitant les turbulences sur les marchés financiers", a commenté l'économiste Luc Aben de Van Lanschot Kempen.

"Nous nous attendons à ce que la Fed choisisse finalement une solution intermédiaire. Certes, les taux d'intérêt augmenteront, mais pas de 50 points de base, chose que le président de la Fed, Jerome Powell, n'excluait pas il y a une douzaine de jours en regard des données économiques solides", rappelle l'économiste.

Michael Hewson, analyste de marché chez CMC Markets, souligne lui qu'une baisse des taux, à laquelle s'attendent certains acteurs du marché, constituerait une réaction excessive de la part de la Fed. 

"Cela enverrait le signal qu'il y a un problème plus important du côté des banques, ce qui pourrait décourager les marchés", estime Hewson, selon qui une augmentation de 25 points de base est la plus probable.

Selon l'analyste de marché de CMC, bien que l'inflation ralentit, l'inflation de base (hors énergie et alimentaire) reste persistante. Les récentes turbulences sur les marchés et les problèmes rencontrés par la Silicon Valley Bank, la First Republic et d'autres banques régionales ont accru la volatilité et le marché envisage même des baisses de taux plus tard dans l'année.

"Si l'inflation reste tenace, il est très peu probable que les taux d'intérêt baissent à court terme, sachant que la Fed entend ramener l'inflation autour de son objectif de 2 pour cent", ajoute Michael Hewson, selon qui les marchés ne semblent pas encore l'accepter.

Les économistes d'ING tablent pour leur part sur une hausse de 25 points de base mercredi, mais n'excluent pas que la Fed ne fasse rien.

"Selon nous, la ligne de conduite la plus prudente consisterait à faire une pause pour évaluer les dégâts, en laissant une marge pour un éventuel redémarrage si l'impact [de la crise bancaire] est limité et si les inquiétudes concernant l'inflation persistent", a commenté ING.

"Nous pensons que la Fed voudra exprimer sa confiance dans le système financier et une façon de le faire est d'augmenter les taux d'intérêt de 25 points et d'indiquer dans ses prévisions que le taux des fonds fédéraux en 2023 sera plus élevé que ce sur quoi le marché compte actuellement", ont précisé les économistes.

L'attention portée également sur les dot plots

Mercredi, l'attention se portera également sur les prévisions de taux d'intérêt de la Fed, communément appelés les "dot plots", et sur le nombre de hausses de taux probables cette année. 

Publiés chaque trimestre, les "Dot Plots" mettent en lumière les prévisions de la Fed sur le taux final pour 2023 et les années à venir. 

En décembre, les responsables politiques de la banque centrale tablaient encore sur des taux d'intérêt moyens de 5,10 pour cent en 2023 et de 4,10 pour cent en 2024.

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(ABM FN) UBS a relevé la recommandation pour Proximus de Vendre à Neutre mardi, mais a abaissé légèrement l'objectif de cours de 8,80 à 8,20 euros. C'est ce qu'a révélé un rapport de la banque suisse.

Selon UBS, les problèmes auxquels Proximus est confronté ont été largement intégrés dans le cours de l'action, qui a chuté de 20 pour cent depuis le mois de décembre.

"Mais l'incertitude persiste", avertissent les analystes. Entre autres, en raison de l'arrivée d'un nouveau concurrent, Digi, en 2024. Proximus devra également investir massivement dans la fibre optique. "Cela pèsera sur le flux de trésorerie disponible pendant une longue période", selon les analystes.

Mais les investisseurs et les analystes sont désormais plus attentifs à ces défis, estime UBS.

L'action Proximus augmente de 2,2 pour cent  mardi, à 8,66 euros.

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(ABM FN) KBC Securities a adapté mardi le modèle d'évaluation d'Intervest Offices & Warehouses et a abaissé l'objectif de cours de 29,50 à 25,00 euros, ramenant la recommandation d'Acheter à Renforcer.

Le nouvel objectif de cours offre toujours un potentiel de hausse considérable.

Un bénéfice EPRA par action de 1,50 euro est désormais visé  pour 2023 et de 1,57 euro pour 2024.

KBC Securities part de l'hypothèse d'un assainissement substantiel du portefeuille d'anciens bureaux.

A l'avenir, Intervest se concentrera sur ses projets logistiques, qui représentent désormais 100 pour cent du pipeline.

L'action Intervest baisse de 1,1 pour cent mardi, à 18,84 euros.

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(ABM FN) Euronext a décidé de suspendre la cotation de l'action Shurgard à partir de ce matin. C'est ce qu'a annoncé Shurgard mardi.

Shurgard a été informé hier après la clôture de la bourse que certaines transactions n'ont pas été effectuées.

Cette situation est entièrement due à un problème technique sur une plate-forme de compensation, a déclaré Shurgard.

Le problème a été causé par le changement du code ISIN de l'action Shurgard à partir du 15 mars 2023.

Shurgard a souligné mardi qu'elle avait respecté ses obligations réglementaires en temps voulu.

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(ABM FN) La bourse de Bruxelles a ouvert en hausse ce mardi. Peu après l'ouverture, le Bel20 affichait une hausse de 1,1 pour cent, à 3.670,50 points.

Parmi les actions principales, KBC  gagnait 2,1 pour cent et Sofina 1,5 pour cent. Elia était en légère baisse. Galapagos augmentait légèrement. Galapagos a augmenté son capital par l'émission de 61.560 nouvelles actions. C'est ce qu'a annoncé la société pharmaceutique lundi soir. L'émission représente une augmentation du capital en circulation de 1,77 million d'euros.

Dans le BelMid, Immobel augmentait de 2,8 pour cent et Brederode de 2,0 pour cent. Atenor baissait de 1,7 pour cent et DEME de 0,9 pour cent.

Parmi les petites actions, Mithra gagnait 2,9 pour cent et Texaf 2,3 pour cent. Greenyard gagnait quant à elle 2,2 pour cent.

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(ABM FN) Fountain a augmenté son chiffre d'affaires en 2022 et a réussi à réduire sa perte. C'est ce qu'ont révélé les résultats annuels de l'entreprise.

Selon l'entreprise, le succès de la transformation de Fountain est attesté par la croissance organique de 16 pour cent enregistrée l'an dernier.

Le chiffre d'affaires consolidé en 2022 s'élève à 24,6 millions d'euros, soit une augmentation de 20,4 pour cent par rapport à celui de 2021. A périmètre constant, la progression du chiffre d’affaires est solide à 15,6 pour cent.

Le résultat net consolidé  après ajustement négatif des actifs d’impôt différé est une perte de 0,7 million d'euros, contre une perte de 1,9 million en 2021.

Le chiffre d'affaires des deux premiers mois de 2023 a fortement progressé par rapport à l'année précédente et Fountain s'attend à une augmentation du chiffre d'affaires de 10 à 15 pour cent cette année.

La croissance soutenue dans un contexte de forte volatilité des prix d’approvisionnement nécessite davantage de moyens financiers. A cette fin, Fountain a négocié début 2023 un accord avec ses banquiers, Wallonie-Entreprendre et son actionnaire principal lui permettant d’alléger les remboursements relatifs à ses crédits en 2023 de 2,8 à 1,9 millions d'euros.

Fin 2022, la dette de Fountain s'élève à 10,7 millions d'euros. Elle était de 10,1 millions d'euros un an plus tôt.

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(ABM FN) La Commission européenne a approuvé lundi l'acquisition de VOO et Brutélé par Orange en Belgique. C'est ce qu'a annoncé la Commission à l'issue d'une enquête approfondie.

L'autorisation est subordonnée à l'adoption par Orange de mesures visant à éliminer les problèmes de concurrence. Par exemple, Telenet aura accès au réseau fixe de VOO et Brutélé pendant au moins 10 ans.

Orange Belgium  acquiert 75 pour cent du capital moins une action de VOO.

La décision permet à la société de procéder à l'acquisition, qui devrait être finalisée d'ici la fin du deuxième trimestre 2023.

L'acquisition de VOO est une étape majeure et va permettre d'exploiter un réseau à très haut débit en Wallonie et dans une partie de Bruxelles.

“L'accès à des services internet et télévisuels abordables et de haute qualité nécessite un choix. Orange a réussi à concurrencer les services de télécommunications de VOO et Brutélé dans certaines régions de Belgique. Avec notre enquête approfondie, nous voulons nous assurer que l'acquisition de VOO et Brutélé par Orange n'entraîne pas une hausse des prix ou une baisse de la qualité pour les clients de Wallonie et de certaines parties de Bruxelles”, a déclaré la commissaire européenne Margrethe Vestager dans un communiqué fin juillet.

Update: pour ajouter des informations supplémentaires.

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(ABM FN) Moury Construct a réalisé un chiffre d'affaires et un bénéfice en hausse en 2022. C'est ce qu'ont révélé les résultats publiés par l'entreprise.

Le chiffre d'affaires de Moury Construct s'est élevé l'an dernier à 155,4 millions d'euros, soit une augmentation de 15,2 pour cent par rapport à 2021.

Le résultat opérationnel s'est élevé à 24,0 millions d'euros contre 17,3 millions d'euros pour l'exercice précédent, soit une augmentation de 38,5 pour cent.

Le bénéfice net a augmenté de 33 pour cent, passant de 13,0 à 17,3 millions d'euros.

Les actionnaires peuvent s'attendre à un dividende brut de 9,70 euros par action. Il s'agit d'une augmentation substantielle par rapport aux 8,40 euros par action de l'année précédente.

Moury Construct prévoit un niveau d'activité record pour 2023. Cela permettra à l'entreprise de maintenir au moins le même niveau de rémunération du capital.

Le carnet de commandes de Moury Construct s'élevait à 234 millions d'euros au 28 février 2023.

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(ABM FN) Oxurion a émis des obligations pour un montant de 2,8 millions d'euros dans le cadre d'un accord avec Atlas Special Opportunities.

Le 14 mars, la société a émis 112 obligations convertibles en faveur d'Atlas pour un montant total de 2,8 millions d'euros.

Atlas s'est engagé à financer jusqu'à 20,8 millions d'euros par le biais d'obligations convertibles, sur une période de 24 mois.

L'action Oxurion a clôturé à 0,012 euro lundi, à Bruxelles.

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(ABM FN) La bourse de Bruxelles devrait ouvrir en hausse mardi. Les contrats à terme sur l'indice Euro Stoxx 50 indiquent un gain de plus d'un demi pour cent environ une heure avant la cloche d'ouverture.

Après une ouverture dans le rouge lundi matin, la bourse de Bruxelles a réussi à inverser la tendance et à clôturer dans le vert au cours de la journée. Le Bel20 a effectivement clôturé en hausse de 0,8 pour cent  à 3 630 points.

Les inquiétudes concernant le secteur bancaire ont conduit à un début de semaine boursière mouvementé lundi, après qu'UBS a dû se précipiter pour sauver Credit Suisse de la faillite le week-end dernier et que les actionnaires de la banque suisse ont vu la plupart de leurs investissements s'évaporer, tout comme les détenteurs d'obligations subordonnées. 

Par la suite, on s'est rendu compte que l'implosion de Credit Suisse était peut-être un cas isolé et que les banques centrales étaient prêtes à intervenir pour éviter la contagion. Les marchés se sont ensuite redressés, tirés par les valeurs financières.

Le week-end dernier, la Réserve fédérale et cinq autres grandes banques centrales ont annoncé des mesures visant à garantir que le dollar américain reste facilement accessible dans le système financier mondial.

À Wall Street, l'indice principal S&P 500 a clôturé en hausse de 1 pour cent lundi soir. Les investisseurs attendent maintenant la décision de la Réserve fédérale sur les taux d'intérêt.

"Les craintes concernant le secteur bancaire américain et l'économie en général ont même conduit certains à suggérer que la Fed maintiendrait, voire réduirait, ses taux d'intérêt mercredi. Toutefois, une baisse des taux serait une réaction excessive. Cela enverrait le signal qu'il y a un problème plus important, ce qui pourrait effrayer les marchés", pense Michael Hewson, analyste de marché chez CMC Markets, qui considère qu'une augmentation de 25 points de base est le scénario le plus probable.

En Asie, où la bourse de Tokyo est restée fermée en raison d'un jour férié, le soulagement est palpable ce matin, les principaux indices sont dans leur totalité en hausse. Toutefois, les gains n'ont pas dépassé 1 pour cent.

Actualités des entreprises

Lotus Bakeries prévoit de nommer Noelle Goris en tant qu'administrateur indépendant lors de son assemblée annuelle.

Galapagos a augmenté son capital avec l'émission de 61.560 nouvelles actions.

Wall Street

Le S&P 500 a gagné 0,9 pour cent à 3.951,57 points lundi, l'indice Dow Jones a progressé de 1,2 pour cent à 32.244,58 points et le Nasdaq a clôturé en hausse de 0,4 pour cent à 11.675,54 points.

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(ABM FN) Lotus Bakeries a annoncé lundi soir en après-bourse son intention de nommer Noelle Goris en tant qu'administrateur indépendant lors de son assemblée annuelle.

L'assemblée annuelle du biscuitier est prévue pour le 12 mai 2023.

Noelle Goris occupe actuellement le poste de vice-présidente du "Global Travel Retail & Apac" chez La Prairie Groupe, propriété de Beierdorf.

En outre, Noelle Goris fait partie du conseil d'administration de La Prairie et siège par ailleurs au conseil consultatif de la start-up Hello Hossy.

Mme Goris succédera à Sabien Sagaert, qui a occupé le poste d'administrateur indépendant chez Lotus Bakeries pendant 12 ans.

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(ABM FN) Après une ouverture dans le rouge vif, la bourse de Bruxelles a été en mesure de rebondir et de clôturer en hausse ce lundi, à l’image du Bel20 qui a gagné 0,80 pour cent à 3.630 points.

A l’ouverture, les investisseurs se montraient peu convaincus par le rachat dimanche soir par UBS de son compatriote en difficulté, le Crédit Suisse, à hauteur de trois milliards de francs.

"Ce rachat était manifestement la seule solution pour éviter un embrasement des marchés", relève Bernard Keppenne, économiste en chef de CBC Banque, qui note que pour soutenir l’opération, la Banque de Suisse a mis à disposition une enveloppe de 100 milliards de francs pour assurer la liquidité.

Si pour Keppenne, le risque systémique du Credit Suisse est écarté… pour le moment, l’économiste observe que des mesures inédites et des injections massives de liquidités sont décidées par les autorités, “ces dernières voulant éviter à tout prix une nouvelle crise financière comme en 2008, et faisant tout pour calmer les marchés".

De l’autre côté de l’Atlantique, Standard & Poor’s a annoncé avoir dégradé en catégorie spéculative la note de crédit de la First Republic Bank, cette autre banque régionale américaine en difficulté. Si plusieurs grandes banques US ont renfloué à hauteur de 30 milliards de dollars l’établissement la semaine passée, cela pourrait ne pas être suffisant pour résoudre ses problèmes de liquidités, note S&P.

Selon Keppenne, "d’autres banques régionales américaines vont sans doute être mises sous pression, et les autorités vont devoir encore agir très certainement".

"C’est dans ce contexte que la FED se réunit cette semaine”, rappelle l’économiste, qui table sur une hausse de 25 points de base des taux directeurs.

On notera que dans un contexte de fuite en avant vers les valeurs refuges, les emprunts d’Etat restent plébiscités. L’agence Belge de la dette en a profité pour emprunter ce lundi 3,9 milliards d’euros ventilés en trois tranches, avec des taux en forte baisse, à hauteur de 2,77 pour cent pour l’OLO à dix ans.

Sur le marché des changes, l’euro reste bien orienté, gagnant 0,5 pour cent au-dessus de 1,07 dollar en début de soirée. 

Au même moment, le pétrole restait sous pression à 72,8 dollars le baril de Brent. En arrière-plan, les craintes que les soubresauts du secteur bancaire accentuent encore davantage le ralentissement de l’économie.

A noter qu’en forte baisse, les prix européens du gaz ont plongé sous les 40 euros le mégawattheure ce lundi, soit un plus bas depuis 20 mois.

Actions en hausse et en baisse

Au sein de de l’indice principal, Proximus a signé avec un gain de 3,2 pour cent la plus forte hausse de la séance, suivi par Ageas qui a gagné 2,8 pour cent.

Retour dans le vert également pour KBC qui a gagné 1,7 pour cent, après avoir abandonné plus de 4 pour cent en séance.

Barco et Melexis, qui ont intégré ce lundi l’indice vedette, ont gagné respectivement 0,5 et 1 pour cent.

Séance difficile en revanche pour les biotechs UCB et Galapagos, lestées respectivement de 1,1 et 3,3 pour cent. Les résultats publiés ce week-end par le laboratoire bruxellois, relatifs à l'efficacité et la sécurité du bimekizumab dans le traitement des adultes atteints d'hidradénite suppurée, ont reçu un accueil mitigé de la part des analystes.

Prudent, Jefferies a notamment souligné que les résultats de l'étude étaient meilleurs que ceux de Novartis, mais aussi moins bons que ceux d'AbbVie.

Dans le BelMid, mention spéciale à Econocom qui a gagné plus de 3 pour cent, suivi par Lotus Bakeries qui gagne 2,6 pour cent. 

En bas de tableau, l’ancien pensionnaire du Bel20 qu’est VGP a perdu 1,8 pour cent. Également éjecté du Bel20, Colruyt a lui gagné 0,3 pour cent.

A noter que la cotation boursière de l'action Telenet est toujours suspendue, et ce depuis jeudi midi.

Dans le BelSmall, Hyloris a progressé de 2,9 pour cent, là où la pennystock MdxHealth a dû céder 4,2 pour cent.

Roularta, dont l’objectif de cours a été ramené de 27 à 24 euros par Degroof Petercam, a clôturé à l'équilibre à 17 euros. Selon la banque d’affaires, le groupe de médias a fait preuve de résilience, malgré les conditions difficiles du marché publicitaire.

Pendant ce temps à Wall Street

A la clôture des indices européens, Wall Street évoulait en ordre dispersé. L'indice principal, le S&P 500, prenait notamment 0,4 pour cent.

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(ABM FN) Voici les principaux points à l'agenda financier belge jusqu'au mardi 28 mars 2023.


MARDI 21 MARS 2023
- Aucun point à l’ordre du jour

MERCREDI 22 Mars 2023
07:00 Titan Cement - Résultats annuels
00:00 Nyxoah - Résultats annuels

JEUDI 23 MARS 2023
00:00 Euronav -L'assemblée générale des actionnaires extraordinaire
00:00 Nyxoah - Journée des investisseurs
00:00 Celyad - Résultats annuels
00:00 IBA - Résultats annuels
00:00 Tessenderlo - Résultats annuels

VENDREDI 24 MARS 2023
17:45 WEB - Résultats annuels

LUNDI 27 MARS 2023
- Aucun point à l’ordre du jour

MARDI 28 MARS 2023
- Aucun point à l’ordre du jour

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(ABM FN) Après avoir perdu jusqu’à 2 pour cent en matinée, le Bel20 évolue en légère hausse ce lundi après-midi, gagnant vers 14h30 0,1 pour cent à 3.607 points.

Au sein de de l’indice principal, c’est toujours Elia qui mène la danse, le gestionnaire du réseau électrique prenant plus de 3 pour cent. En hausse de 1,9 pour cent, Proximus est également bien orienté.

A noter le retour dans le vert de KBC, qui après avoir perdu jusqu’à 4% en matinée, gagne désormais 0,6 pour cent.

UCB évolue pour sa part toujours en bas du tableau, lesté de 1,4 pour cent. Les résultats de l'étude présentés ce week-end par le laboratoire bruxellois présentés se sont révélés meilleurs que ceux de Novartis, mais moins bons que ceux d'AbbVie, selon la banque d'investissement Jefferies.

Barco et Melexis, qui ont fait leur retour ce lundi dans l'indice vedette, gagnent respectivement 0,5 et 0,6 pour cent.

Dans le BelMid, mention spéciale à Lotus Bakeries qui prend plus de 3 pour cent, suivi par Econocom qui gagne 2,7 pour cent. A l’inverse, Shurgard lâche 3,3 pour cent.

A noter que la cotation boursière de l'action Telenet reste toujours suspendue, et ce depuis jeudi midi.

Dans le BelSmall, Onward progresse de 4,5 pour cent, là où Biocartis abandonne 3,4 pour cent.

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(ABM FN) Les marchés boursiers américains se dirigent vers une ouverture en légère baisse ce lundi, le contrat à terme sur l'indice phare, le S&P 500, reculant de 0,1 pour cent à une demi-heure de l’ouverture.

Continuant d’être inquiets quant aux banques, les investisseurs se tournent vers les valeurs refuges ce lundi, et ce après qu’UBS ait conclu un accord pour racheter Credit Suisse durant le week-end. UBS a accepté de reprendre son compatriote en difficulté pour environ trois milliards de francs suisses.

Dimanche, la Réserve fédérale et cinq autres grandes banques centrales ont annoncé pour leur part des mesures visant à garantir la circulation facile des dollars américains dans le système financier mondial.

"La volatilité devrait se poursuivre cette semaine, tandis que les préoccupations plus générales des marchés financiers devraient rester au premier plan", a déclaré ING.

Sur le plan macroéconomique, aucune publication n'est attendue ce lundi aux États-Unis lundi.

Sur le marché des changes, l'euro se traite à 1,0713 dollar, contre 1,0695 ce matin ou encore 1,066 à la clôture de Wall Street vendredi.

Du côté de l'énergie, le pétrole perd 1,1 pour cent.

Actualité des entreprises

Dimanche, Flagstar Bank a accepté d'acquérir une grande partie de l'ancienne Signature Bank. À compter de ce lundi, les 40 succursales de Signature Bank fonctionneront ainsi sous l'œil vigilant de Flagstar Bank. L'action de New York Community Bankcorp, la société mère de Flagstar Bank, prend plus de 10 pour cent en avant bourse.

First Republic Bank devrait pour sa part encore perdre plus de 18 pour cent à l'ouverture, après que S&P Global ait abaissé le rating de la dette de l’établissement en catégorie spéculative.

FootLocker, le détaillant de chaussures qui a annoncé des résultats meilleurs que prévu, mais a déclaré qu'il prévoyait une baisse des ventes, est donné en hausse de 1,5 pour cent à l'ouverture.

Sangamo Therapeutics a annoncé que Novartis et Biogen avaient mis fin aux accords de collaboration et de licence avec la société de biotechnologie. L'action chute de 8 pour cent dans les échanges électroniques.

Credit Suisse, qui est également coté aux États-Unis, plonge de près de 60 pour cent avant l'ouverture des marchés.

Dernière clôture à Wall Street

L'indice phare, le S&P 500, a perdu 1,1 pour cent vendredi à 3.916,64 points, le Dow Jones 1,2 pour cent à 31.861,98 points et le Nasdaq 0,7 pour cent à 11.360,51 points.

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(ABM FN) Les marchés boursiers européens étaient pour la plupart en hausse lundi à la mi-journée, bien que les gains aient été relativement modestes.

L'indice STOXX Europe 600 progressait de 0,1 pour cent à 436,82 points, le DAX allemand de 0,5 pour cent à 14.834,32 points, le CAC 40 français de 0,4 pour cent à 6.957,14 points. Le FTSE 100 britannique quant à lui progressait de 0,1 pour cent à 7.344,39 points.

Le début de la matinée a été encore négatif, après qu'UBS ait conclu un accord pour reprendre Credit Suisse, en difficulté, sous la supervision des autorités suisses.

UBS paiera environ 3 milliards de francs pour Credit Suisse.

Dimanche, la Réserve fédérale et cinq autres grandes banques centrales ont annoncé des mesures visant à garantir que suffisamment de dollars américains restent disponibles dans le système financier mondial.

Les économistes s'attendent à ce que les banques américaines resserrent considérablement les conditions de crédit en réponse aux turbulences, augmentant ainsi la probabilité d'une récession de l'économie.

"Après la pire semaine de l'année pour les marchés boursiers européens, la volatilité devrait se poursuivre cette semaine alors que le sort de Credit Suisse semble définitivement scellé", a déclaré l'analyste Michael Hewson de CMC Markets.

Sur le plan macroéconomique, il a été annoncé lundi que les prix à la production en Allemagne ont baissé de 0,3 pour cent en février sur une base mensuelle. Sur une base annuelle, il y a eu une augmentation de 15,8 pour cent, ce qui est nettement inférieur à ce qui s'est passé les mois précédents.

Les exportations de la zone euro ont augmenté de 11 pour cent en janvier par rapport à l'année précédente, tandis que les importations ont augmenté de 10 pour cent, ce qui a entraîné une augmentation du déficit commercial à 30,6 milliards d'euros.

Sur le marché des changes, l'euro/dollar se traitait à 1,0696, contre 1,0695 en début de séance et à 1,0666, lors de  la clôture des bourses américaines vendredi.

Actualités des entreprises

En Suisse, UBS était en baisse de 5,5 pour cent lundi. Credit Suisse perdait 60 pour cent à 0,74 franc suisse. C'est 2 centimes de moins que ce que paie UBS pour son concurrent.

À Amsterdam, ABN AMRO baissait de 1,1 pour cent, tandis qu'ING chutait de 5,7 pour cent. KBC perdait 1,3 pour cent à Bruxelles.

À Paris, Société Générale perdait 3,6 pour cent, BNP Paribas baissait de 2,6 pour cent et Credit Agricole 1,4 pour cent.

À Francfort, Commerzbank chutait de 3,5 pour cent, tandis que Deutsche Bank  perdait 1,6 pour cent.

À Londres, Barclays chutait de 2,7 pour cent, HSBC perdait 2,1 pour cent et Lloyds baissait de 1,2 pour cent.

Contrats à terme sur Wall Street

Les bourses américaines devraient ouvrir en légère hausse lundi.

L'indice principal S&P 500 a clôturé en baisse de 1,1 pour cent à 3.916,64 points vendredi. L'indice Dow Jones a terminé en baisse de 1,2 pour cent, à 31.861,98 points, et le Nasdaq a chuté de 0,7 pour cent, à 11.360,51 points.

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(ABM FN) La bourse de Bruxelles est en forte baisse lundi après le rachat du Crédit Suisse par UBS le week-end dernier dans le cadre d'un plan de sauvetage mené par les autorités.

L'indice Bel20 chutait de 0,8 pour cent pour atteindre 3.576 points. Par ailleurs, Amsterdam et Paris enregistraient de légères hausses.

"Les gouvernements et les banques centrales semblent faire tout ce qu'ils peuvent pour rétablir la confiance le plus rapidement possible", a déclaré Kevin Verstraete, spécialiste des investissements chez Lynx, en évoquant le rachat de Credit Suisse par UBS.

Les actionnaires de Credit Suisse seront payés en actions UBS, et sur la base du cours de clôture de vendredi, le rachat est évalué à 3 milliards de francs suisses, soit 0,76 franc par action Credit Suisse.

Les actionnaires verront la majeure partie de leur investissement s'évaporer à la suite de la reprise, et certains détenteurs d'obligations se retrouveront même les mains complètement vides.

La banque centrale suisse fournira "d'importantes liquidités supplémentaires", a indiqué Credit Suisse, qui avait auparavant promis 50 milliards de francs.

Il a également été annoncé dimanche que la Réserve fédérale, la Banque centrale européenne, la Banque d'Angleterre, la Banque du Japon, la Banque du Canada et la Banque centrale suisse ont coordonné leurs actions afin d'améliorer la fourniture de liquidités pour le dollar américain par le biais d'accords de swap existants, compte tenu des tensions dans le système financier.

Sur le marché des changes, la paire de devises euro/dollar se traitait à 1,0658. Le rendement obligataire américain à 10 ans est tombé à 3,343 pour cent et le Bund allemand s'est traité juste au-dessus de 2 pour cent.

Actions en hausse et en baisse

Dans le Bel20, Elia arrivait en tête avec une hausse de 1,8 pour cent. Proximus gagnait 1,3 pour cent.

KBC et Ageas chutaient respectivement de 2,7 et 1,5 pour cent. Galapagos et UCB perdaient 2,1 et 2,9 pour cent. Les résultats de l'étude d'UCB présentés le week-end dernier étaient meilleurs que ceux de Novartis, mais moins bons que ceux d'AbbVie, selon la banque d'investissement Jefferies.

Dans le BelMid, Immobel arrivait en tête avec une hausse de 1,8 pour cent. Sipef augmentait de 1,2 pour cent.

La cotation boursière de l'action Telenet est toujours suspendue. C'est le cas depuis jeudi.
VGP et Exmar perdaient plus de 2 pour cent.

Dans le BelSmall, Qrf et Nextensa perdaient 2,8 et 3,6 pour cent.

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(ABM FN) Degroof Petercam a abaissé l'objectif de cours pour Roularta de 27,00 à 24,00 euros  lundi, mais a maintenu la recommandation d'achat.

Selon les analystes de Degroof, les résultats annuels de Roularta étaient conformes aux attentes. Malgré la hausse des prix de l'énergie et du papier, Roularta a réussi à terminer l'année 2022 avec de bons bénéfices.

Les analystes estiment que l'accent mis par l'entreprise sur la numérisation est un bon choix, car les marges deviennent moins sensibles en raison des coûts d'intrants plus élevés. Le dividende de 1,00 euro par action offre également un rendement "intéressant" de 5,9 pour cent.

En outre, selon Degroof, le bilan reste sain avec une position de trésorerie de 73 millions d'euros. L'entreprise détient encore environ 10 pour cent des actions en circulation, pour une valeur de 22 millions d'euros.

Degroof a relevé ses estimations de revenus pour la période 2023-2025 de 2 pour cent en moyenne, tandis que les estimations de bénéfices ont baissé de 11 pour cent. Degroof tient également compte de l'augmentation des coûts du fonds de roulement. Par conséquent, Degroof a revu son objectif de cours à la baisse.

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(ABM FN)  Les résultats de l'étude présentés par UCB avec le bimekizumab dans le traitement des adultes atteints d'hidradénite suppurée modérée à sévère, une inflammation chronique des follicules pileux, semblent meilleurs que le Cosentyx de Novartis, mais moins bons que l'Humira d'AbbVie. C'est ce qu'ont déclaré lundi les analystes de la banque d'investissement Jefferies.

Comparé au placebo, le bimekizumab a montré une amélioration "statistiquement et cliniquement significative et cohérente" après 16 semaines. Cette amélioration s'est maintenue jusqu'à la 48e semaine.

Jefferies a une recommandation d'achat pour UCB avec un objectif de cours de 89,00 euros. L'action chute de 2,1 pour cent lundi.

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(ABM FN) La Bourse de Bruxelles a commencé lundi par une perte, comme prévu, mais le recul ne semble pas trop important.

L'indice Bel20 a ouvert à 3.582 points, après avoir clôturé vendredi à 3.603 points.

Entre-temps, l'indice principal baisse de 0,8 pour cent.

Dans l'indice principal, seuls Cofinimmo, Proximus et le nouveau venu Barco sont en hausse. KBC enregistre la plus forte perte, avec une baisse de 2,5 pour cent.

Dans le BelMid, Sipef augmente de 0,7 pour cent. Montea, Lotus Bakeries, Home Invest et EVS sont également en hausse. Euronav et Ontex chutent de près de 2 pour cent.

Parmi les plus petites actions, MDxHealth gagne 3,7 pour cent et Vastned Belgium 2,0 pour cent. Mithra et Nextensa chutent respectivement de 2,0 et 3,5 pour cent.

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(ABM FN) La bourse de Bruxelles devrait entamer la semaine boursière ce lundi dans le rouge. UBS a confirmé dimanche l'acquisition de Credit Suisse.

Le Bel20 a subi une perte hebdomadaire de 3,8 pour cent la semaine dernière, clôturant à 3.602,80 points vendredi. À Wall Street, l'indice principal S&P 500 a trouvé le chemin de la hausse sur une base hebdomadaire, avec une augmentation de près de 1,5 pour cent.

Vendredi, Bruxelles semblait encore gagner du terrain après l'annonce, jeudi soir, que la First Republic Bank, en difficulté, avait reçu une injection de capital de 30 milliards de dollars de la part de 11 grandes banques américaines. Toutefois, l'optimisme a été de courte durée.

First Republic a clôturé en baisse de 33 pour cent à New York vendredi, avec une chute de 15 pour cent supplémentaire dans les échanges électroniques. Les actions des banques et des assureurs européens ont été entraînées dans le malaise.

Selon les régulateurs, le problème des banques bien capitalisées est que les titulaires de comptes peuvent retirer leurs liquidités en appuyant sur un bouton, ce qui peut créer une 'self-fulfilling prophecy', s'il est clair qu'une banque est vulnérable.

Dimanche, il a été annoncé que la banque suisse UBS, dirigée par l'ancien chef d'ING Ralph Hamers, reprenait Credit Suisse qui esr en difficulté.

Les actionnaires de Credit Suisse seront payés en actions UBS et, sur la base du cours de clôture de vendredi, le rachat est évalué à 3 milliards de francs suisses, soit 0,76 franc par action de Credit Suisse.

Les actionnaires verront la majeure partie de leur investissement s'évaporer à la suite du rachat. Vendredi, l'action Credit Suisse a clôturé à Zurich à 1,86 franc, en baisse par rapport au cours de 2,75 francs du début de la semaine dernière. Grâce à une loi d'urgence, les actionnaires des deux banques ont été mis à l'écart, de sorte qu'il n'a pas été nécessaire d'approuver le rachat.

La banque centrale suisse fournira "des liquidités supplémentaires substantielles", a indiqué Credit Suisse, qui avait précédemment promis 50 milliards de francs.

Il a également été annoncé dimanche que la Réserve fédérale, la Banque centrale européenne, la Banque d'Angleterre, la Banque du Japon, la Banque du Canada et la Banque centrale suisse coordonnent des actions visant à améliorer la fourniture de liquidités pour le dollar américain par le biais d'accords d'échange de liquidités existants, compte tenu des tensions dans le système financier.

En Asie, les marchés boursiers ont ouvert en demi-teinte ce matin, avant de chuter brutalement. L'indice Hang Seng de Hong Kong a perdu plus de 3 pour cent, tandis que Sydney et Tokyo ont perdu jusqu'à 1,5 pour cent. Séoul et Shanghai sont en baisse d'environ un 0.5 pour cent. Ce sont principalement les valeurs financières qui sont à nouveau en difficulté.

Les prix du pétrole sont également sous pression ce matin, les contrats à terme sur le pétrole américain perdant deux pour cent à 65,37 dollars le baril.

L'or, quant à lui, flirte avec son plus haut niveau historique, juste en dessous de 2.000 dollars. "Les traders préfèrent actuellement les valeurs refuges car le risque de contagion [dans le secteur financier] est élevé", a déclaré l'analyste Naeem Aslam de Zayed Capital Markets.

Les investisseurs porteront leur attention sur la décision de la Réserve fédérale concernant les taux d'intérêt cette semaine, après que la Banque centrale européenne n'ait pas été distraite par les incertitudes actuelles dans le secteur financier et ait augmenté les taux d'intérêt comme prévu.

"La BCE ayant relevé ses taux d'intérêt de 50 points de base, il y a de fortes chances que la Fed fasse de même [mercredi]", a déclaré Naeem Aslam, directeur des investissements chez Zaye Capital Markets.

Actualités des entreprises

UCB a obtenu des résultats positifs dans deux études de phase 3. La société pharmaceutique basée à Bruxelles l'a annoncé au cours du week-end.

Azelis va racheter pour 3,5 millions d'euros de ses propres actions. Les actions rachetées, jusqu'à 150.000, seront utilisées par le distributeur de produits chimiques spécialisés pour la rémunération de ses employés.

Le chiffre d'affaires de Keyware a augmenté de 35,5 pour cent en 2022 par rapport à l'année précédente, pour atteindre près de 24 millions d'euros. L'EBITDA du spécialiste des paiements a augmenté de plus de 24 pour cent pour atteindre 4,9 millions d'euros. Le bénéfice net s'élève à 1,64 million d'euros, soit 151 pour cent de plus qu'en 2021.

Barco et Melexis font désormais partie de l'indice Bel20, tandis que Colruyt et VGP sont relégués dans l'indice BelMid. Outre Mithra, Crescent et Hybrid Software font également partie du BelSmall. Belysse Group, Hyloris et Sequana Medical disparaissent du BelSmall.

Wall Street

L'indice S&P 500 a chuté de 1,1 pour cent à 3.916,57 points vendredi, l'indice Dow Jones a perdu 1,2 pour cent à 31.861,12 points et le Nasdaq a clôturé en baisse de 0,7 pour cent à 11.630,51 points.

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(ABM FN) Azelis va racheter pour 3,5 millions d'euros d'actions propres. C'est ce que le distributeur de produits chimiques spécialisés a annoncé lundi matin.

Azelis utilisera les actions rachetées, à concurrence de 150.000, pour la rémunération de ses employés.

Le programme de rachat d'actions prend effet immédiatement et court jusqu'au 30 juin 2023 au plus tard.

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(ABM FN) Keyware a enregistré des résultats en forte hausse en 2022. C'est ce que révèlent les résultats publiés par le spécialiste des terminaux de paiement.

Le chiffre d'affaires a augmenté de 35,5 pour cent par rapport à l'année précédente, pour atteindre près de 24 millions d'euros. Keyware attribue cette hausse à "l'augmentation de la demande de terminaux de paiement, d'abonnements de transaction et de licences logicielles de Keyware en général et à l'acquisition réussie de Payment Solutions en particulier".

Dans le domaine des terminaux de paiement, le chiffre d'affaires a augmenté de plus de 42 pour cent en 2022.

L'EBITDA de Keyware a augmenté de plus de 24 pour cent pour atteindre 4,9 millions d'euros. Le bénéfice net s'est élevé à 1,64 million d'euros, soit 151 pour cent de plus qu'en 2021.

En outre, Keyware avait une dette de 1,43 million d'euros et une trésorerie de plus de 2,2 millions d'euros à la fin de l'année 2022.

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(ABM FN) UCB a obtenu des résultats positifs dans deux études de phase 3. C'est ce que l'entreprise pharmaceutique basée à Bruxelles a annoncé ce week-end.

Il s'agit des études BE HEARD I et BE HEARD II, qui ont évalué l'efficacité et la sécurité du bimekizumab dans le traitement d'adultes souffrant d'hidradénite suppurée modérée à sévère, une inflammation chronique des follicules pileux.

Comparé au placebo, le bimekizumab a montré une amélioration "statistiquement significative et cohérente" après 16 semaines. Cette amélioration s'est maintenue jusqu'à la semaine 48.

Le profil d'innocuité était conforme aux études précédentes, selon UCB.

Les résultats de l'étude ont été présentés par UCB lors de la réunion annuelle de l'American Academy of Dermatology (AAD) à la Nouvelle-Orléans. Cette réunion se tient du 17 au 22 mars.

UCB prévoit de soumettre des demandes d'autorisation de mise sur le marché du bimekizumab à divers organismes de réglementation dans le monde entier pour le traitement des patients souffrant d'hidradénite suppurée modérée à sévère à partir du troisième trimestre de cette année.

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(ABM FN) Voici les principaux points à l'agenda financier belge jusqu'au lundi 27 mars 2023.


LUNDI 20 MARS 2023
00:00 Fountain - Résultats annuels

MARDI 21 MARS 2023
- Aucun point à l’ordre du jour

MERCREDI 22 Mars 2023
07:00 Titan Cement - Résultats annuels
00:00 Nyxoah - Résultats annuels

JEUDI 23 MARS 2023
00:00 Euronav -L'assemblée générale des actionnaires extraordinaire
00:00 Nyxoah - Journée des investisseurs
00:00 Celyad - Résultats annuels
00:00 IBA - Résultats annuels
00:00 Tessenderlo - Résultats annuels

VENDREDI 24 MARS 2023
17:45 WEB - Résultats annuels

LUNDI 27 MARS 2023
- Aucun point à l’ordre du jour

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(ABM FN) Au cours de la semaine à venir, toute l’attention des investisseurs sera portée sur la décision relative aux taux d'intérêt de la Fed, après que sa consoeur européenne, la BCE, ne se soit pas laissée distraire par les incertitudes entourant le secteur financier, et a relevé ses taux conformément aux attentes.

"Maintenant que la BCE a relevé ses taux d'intérêt de 50 points de base, il y a de fortes chances que la Fed en fasse de même mercredi", a commenté Naeem Aslam, directeur des investissements chez Zaye Capital Markets.

Joost van Leenders, stratège en investissement chez Van Lanschot Kempen, note lui que le marché semble de plus en plus miser sur le fait que les taux d'intérêt ne seront pas relevés davantage par la BCE. "Cela parait une bonne chose, mais cela implique que les conditions de taux sont telles qu'elles maintiendront la croissance à un faible niveau, ce qui entraînera une forte désinflation". Et van Leenders d'ajouter qu'en raison des turbulences financières, une nouvelle volatilité des marchés n'est pas à exclure".

En marge de la conférence de la présidente Christine Lagarde jeudi dernier, il est clairement apparu que la BCE ne veut pour le moment pas s’engager quant à de nouvelles hausses de taux, même s'il est probable qu'elle le fasse à l'avenir.

La BCE dit ne voir actuellement aucun signe de crise de liquidité, mais se tient prête à intervenir si nécessaire, a souligné Mme Lagarde. "Le secteur bancaire est plus solide aujourd'hui qu'il ne l'était en 2008", a ajouté la sainte gardienne de la stabilité des prix dans la zone euro.

Assurément, les investisseurs seront curieux de connaître le point de vue de la Fed à ce sujet, alors que les marchés boursiers ont encore été très volatils tout au long de la semaine écoulée, en marge des déboires de la Silicon Valley Bank et de Credit Suisse. Le marché estime comme très probable que la Fed relève ses taux d'intérêt de 25 points de base la semaine prochaine.

La Banque d'Angleterre est également attendue au rapport avec sa décision sur les taux d'intérêt. Le marché table ici aussi sur une hausse des taux de 25 points de base, mais la question de savoir si elle interviendra dès cette semaine ou à une date ultérieure divise toutefois les investisseurs. La probabilité d'une hausse la semaine prochaine est estimée à 50 pour cent.

Parmi les autres éléments à surveiller la semaine prochaine figure notamment la publication mardi de l’indice allemand ZEW, du nom de ce baromètre qui mesure la santé actuelle et future de l'économie, à un horizon de six mois.

Mercredi, les investisseurs pourront prendre le pouls de la confiance des consommateurs néerlandais, ainsi que l'indice de la Fed de Chicago, jeudi. Vendredi, les indices composites des directeurs d'achat américains et européens pour le mois de mars seront publiés.

Alors que la saison des résultats est pour ainsi dire terminée, Avantium et Eurocommercial Properties sont attendus au rapport à Amsterdam.

Les publications annuelles seront un peu plus soutenues en Belgique, avec Nyxoah, Celyad, IBA, Tessenderlo et WEB attendus au rapport.

Euronav tiendra pour sa part une assemblée générale extraordinaire. Les actionnaires devront se prononcer sur le renouvellement du conseil d’administration, afin que celui-ci reflète mieux la structure actuelle de l'actionnariat d'Euronav.

Le conseil de surveillance d'Euronav recommande dès lors de voter contre les cinq administrateurs nommés par l'actionnaire CMB lors de l'AGE, "sachant que CMB n'a pas de justification convaincante pour la réorganisation complète du conseil d’administration".

Aux États-Unis, GameStop, Nike et General Mills publieront leurs résultats annuels. Mercredi, les actionnaires de Prosus seront notamment curieux des résultats qui seront publiés par Tencent, dans lequel l'investisseur sud-africain détient une participation.

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(ABM FN) La bourse de Bruxelles a clôturé à 3.602 points vendredi, accusant un repli hebdomadaire de 3,8 pour cent. Un nouveau repli qui fait plonger la performance de l’indice vedette dans le rouge depuis le 1er janvier.

Les inquiétudes concernant les risques de contagion au sein du secteur bancaire l’ont à nouveau emporté, et ce malgré les mesures prises par les autorités américaines dans le cadre de la chute de la Silicone Valley Bank, du nom de cet établissement axé sur le financement des startups, et des plans de soutien à la banque régionale américaine First Republic et au Credit Suisse.

"Après la faillite de la Silicon Valley Bank, les craintes d'une contagion à d'autres banques régionales aux États-Unis persistent", observe Bernard Keppenne, économiste en chef de CBC Banque.

Jeudi, la Banque de Suisse a annoncé un prêt de quelque 50 milliards de francs au Credit Suisse, certains se demandant toutefois si cela sera suffisant.

Bernard Keppenne estime à ce titre que "davantage que le montant, c’est surtout le message qui est important", à savoir que la Banque de Suisse dit ne pas voir de risque de fiabilité du côté de la banque.

"Certes, il faut que le marché y croit, ce qui n’est visiblement pas encore le cas", souligne Keppenne, selon qui l'une des grandes questions aujourd’hui est de savoir dans quelles mesures les autres banques sont exposées au "risque Credit Suisse".

First Republic a pour sa part été renflouée par 11 grandes banques américaines à hauteur de 30 milliards de dollars. Malgré ce plan de soutien annoncé jeudi soir, l'action perdait plus de 30 pour cent vendredi, voyant sa capitalisation boursière  fondre de 70 pour cent sur l’ensemble de la semaine.

Quid des hausses de taux de la Fed en regard des turbulences bancaires?

Naeem Aslam, directeur des investissements chez Zaye Capital Markets, estime que la situation est exacerbée par l’approche de la réunion de la Fed qui doit rendre sa décision en matière de taux en milieu de semaine prochaine. 

Les investisseurs spéculent sur le fait que l'institution pourrait faire une pause et ne pas augmenter davantage ses taux en raison des soubresauts bancaires.

Toutefois, Naeem Aslam fait remarquer qu'en dépit d'une crise bancaire qui se fait menaçante, la BCE a elle relevé comme prévu jeudi ses taux d'intérêt de 50 points de base jeudi.

Selon les dernières données compilées par CME Group, une grande majorité du marché table sur une hausse de 25 points de base de la part de la Fed.

Les chiffres de l'inflation américaine publiés mardi semblent aller dans ce sens. Les prix à la consommation ont augmenté de 6,0 pour cent en glissement annuel en février, conformément aux attentes, et ce après les 6,4 pour cent en janvier. L'inflation de base est également ressortie conforme aux attentes, à 5,5 pour cent.

"La question est maintenant de savoir ce que ces chiffres signifient aux yeux de la Fed. Ne rien faire n'est pas une option, mais une hausse de 50 points de base paraît un peu forte. La Fed devrait être confortable avec une augmentation de 25 points de base", estime Philip Marey, analyste de marché chez Rabobank.

La BCE relève ses taux d'intérêt mais se garde de fournir des prévisions

Comme prévu, la BCE a relevé jeudi de 50 points de base son principal taux directeur, même si le marché a brièvement douté que l'institution ne se montre plus accommodante en raison des problèmes du Credit Suisse.

Selon Bernard Keppenne, une hausse modérée de 25 points de base aurait sans doute été un mauvais signal envoyé aux marchés quant à l’état du secteur bancaire.

"Cela aurait pu donner l'impression qu'il existe un risque de défaillance systémique dans le système bancaire de l'UE”, abonde dans le même sens Altaf Kassam, stratège de marché chez State Street. 

La BCE ne voit actuellement aucun signe de crise de liquidité, mais se tient prête à intervenir si nécessaire, a déclaré pour sa part la présidente de la BCE, Christine Lagarde. "Le secteur bancaire est plus solide aujourd'hui qu'il ne l'était en 2008, a-t-elle ajouté.

Joost van Leenders, stratège en investissement chez Van Lanschot Kempen, note que le marché semble de plus en plus miser sur le fait que les taux ne seront pas relevés davantage par la BCE

"Cela parait une bonne chose, mais cela implique que les conditions de taux sont telles qu'elles maintiendront la croissance à un faible niveau, ce qui entraînera une forte désinflation". Et van Leenders d'ajouter qu'en raison des turbulences financières, une nouvelle volatilité des marchés n'est pas à exclure".

Sur le marché des changes, l’euro a légèrement progressé de 0,3 pour cent face au billet vert cette semaine, à 1,067 dollar.

Alors que les tumultes observés sur le secteur bancaire font craindre quant à l’activité économique et dès lors, quant à la demande de pétrole, le baril de Brent a chuté de 12 pour cent, touchant un plus bas de 15 mois.

Et tandis que les investisseurs se détournent des actions, ils trouvent refuge dans les obligations. Le rendement du dix ans allemand a ainsi chuté de 40 points de base à 2,1 pour cent. Même topo outre-Atlantique, où le rendement du Bon du trésor à deux ans est repassé pour la première fois depuis septembre sous les 4 pour cent.

Actions en hausse et en baisse

Au sein du Bel20, les biotechs se sont bien comportées cette semaine. Argenx a signé avec un gain de 4,6 pour cent la plus forte hausse de l’indice principal cette semaine, tandis que Galapagos s'est adjugé 4 pour cent.

A la faveur de la baisse des rendements obligataires, les valeurs immobilières ont également bien performé, à l’image de VGP qui s’est apprécié de 4,1 pour cent.

En bas de tableau, on retrouve naturellement les financières, avec KBC qui a chuté de 11 pour cent et Ageas de 11,5 pour cent.

Au sein du BelMid, mention spéciale à Shurgard qui a bondi de 8,4 pour cent. Telenet affiche pour sa part un gain hebdomadaire de 5,6 pour cent, et ce alors que la cotation de l’action est suspendue depuis jeudi midi, dans l’attente d’un communiqué de presse. Les observateurs évoquent une potentielle offre de rachat des actionnaires minoritaires par Liberty Global.

En bas de tableau, Euronav a perdu 11 pour cent. Le transporteur maritime tiendra une assemblée générale extraordinaire la semaine prochaine. Bekaert, qui a pourtant pu compter sur plusieurs relèvement d’objectif de cours, a également perdu plus de 9,6 pour cent.

Du côté des plus petites valorisations référencées dans le Bel Small, mention spéciale à Hyloris et Ekopak qui ont gagné respectivement 6,6 et 3,2 pour cent, là où UnifiedPost et Onward Médical ont perdu 4,6 et 11 pour cent.

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(ABM FN) L’aversion au risque a fait son retour ce vendredi sur les bourses, avec un Bel20 qui a corrigé de 1,4 pour cent, sauvant de justesse les 3.600 points.

Sur l’ensemble de la semaine, l’indice vedette perd près de 4 pour cent, et plonge au passage dans le rouge depuis le 1er janvier.

Alors que les marchés avaient poussé un ouf de soulagement jeudi soir en marge de la décision des grandes banques américaines de soutenir la First Republic Bank, on pensait le psychodrame bancaire enfin terminé. 

Il n’en est rien. A l’ouverture de Wall Street, cette même First Republic Bank plongeait de 16 pour cent, les investisseurs mettant visiblement en doute le plan de soutien, avec toujours en filigranes, les craintes de contagion au secteur.

Dans un entretien accordé à ABM Financial News, Bernard Keppenne, économiste en chef de CBC Banque, abonde dans ce sens, notant que "les déboires des banques régionales aux États-Unis ne sont pas encore réglés".

"Nous allons encore avoir des faillites dans le secteur", s’attend l’économiste.

A ce titre, on apprenait que la maison mère de la Silicon Valley Bank, SVB Financial, a demandé à être placée sous la protection du chapitre 11 de la loi américaine. L’action de la banque spécialisée dans les financements des startups était suspendue depuis plus d’une semaine.

De notre côté de l’Atlantique, Credit Suisse a perdu à nouveau plus de 8 pour cent, plombant l’ensemble du secteur européen, BNP Paribas perdant notamment 2 pour cent et KBC 2,1 pour cent chez nous.

Mais alors que les investisseurs se détournent des actions, ils trouvent refuge dans les obligations, à l’image du rendement du dix ans allemand, en baisse de plus de 10 points de base à 2,11 pour cent.

Même topo sur le marché obligataire américain, où le bon du trésor à deux ans est repassé pour la première fois depuis septembre sous les 4 pour cent.

Alors que la Fed doit rendre sa décision en matière de taux la semaine prochaine, les investisseurs spéculent sur le fait que l'institution pourrait faire une pause et ne pas augmenter davantage ses taux en raison des turbulences sur les marchés. 

Pour l’heure, le baromètre compilé par CME ToolWatch table toutefois sur une hausse de 25 points de base ce mercredi.

Du côté des prix de l’énergie, le pétrole chutait de 2 pour cent à la clôture des indices européens, signe des inquiétudes pour l'activité et la demande en marge des troubles du secteur bancaire. 

Actions en hausse et en baisse

Sans surprise, les financières ont été à la traine au sein du Bel20, Ageas et KBC perdant respectivement 4,4 et 2,1 pour cent.

Parmi les rares valeurs à avoir clôturé dans le vert, VGP a gagné 1,9 pour cent.

Elia gagné 0,4 pour cent, alors que Kepler Cheuvreux dit voir une opportunité intéressante sur l’action, et a relevé en conséquence à "Acheter" son conseil sur la valeur, même si l'objectif de cours a été abaissé.

Dans le Bel Mid, mention spéciale à Immobel qui a pris 1,7 pour cent. IBA, quant à elle, a chuté de 6,2 pour cent.

Degroof Petercam, qui a relevé son objectif de cours sur Bekaert et a confirmé son conseil d'achat, juge la valorisation du tréfileur courtraisien sous-évaluée. De quoi contribuer à la hausse de 1,4 pour cent de l'action.

KBC Securities a repris le suivi de Tessenderlo avec une recommandation "Renforcer" et un objectif de cours de 38 euros. L'action du groupe industriel a perdu 0,3 pour cent à 29,5 euros.

Ameriprise est monté à hauteur de 3,1 pour cent du capital de Care Property, qui a abandonné 1,5 pour cent.

La cotation boursière sur Telenet est restée suspendue, et ce en l’absence de la publication du communiqué de presse annoncé jeudi. La plupart des observateurs évoquent une offre de Liberty sur les actions non encore détenues par les américains.

Parmi les petites actions, Onward a chuté de 7,4 pour cent, là où MdxHealth a pris 5,3 pour cent.

Pendant ce temps à Wall Street

Les indices américains évoluaient dans le rouge à la clôture européenne, le S&P 500 perdant plus de 1 pour cent.

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(ABM FN) Publiés ce vendredi par le Conference Board, les indicateurs avancés de l'économie américaine, considérés comme précurseurs de la tendance, ont de nouveau baissé en février. 

Le "Leading Economic Index" a ainsi baissé de 0,3 pour cent à 110 en février, après avoir déjà baissé de 0,3 pour cent en janvier.

Il s'agit de la 11ème baisse mensuelle consécutive, a commenté Justyna Zabinska-La Monica, du Conference Board, dans une note. 

"Bien que le rythme des baisses mensuelles se soit ralentie ces derniers mois, l'indice indique toujours un risque de récession pour l'économie américaine.

L'indice LEI est un indicateur conjoncturel, censé déceler dans le présent des éléments montrant l'évolution de l'économie au cours des six prochains mois.

L'indicateur principal est composé de la moyenne pondérée de plusieurs sous-indicateurs, tels que la confiance des consommateurs, le nombre moyen d'heures travaillées dans l'industrie manufacturière ou encore le cours des actions.

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(ABM FN) La confiance des consommateurs américains envers l'économie a chuté en mars, tout comme leurs prévisions d'inflation. C'est ce qu'ont révélé les chiffres préliminaires publiés ce vendredi par l'Université du Michigan.

L'indice de confiance des consommateurs a ainsi été ramené de 67,0 en février à 63,4 à la mi-mars. Il s'agit de la première baisse depuis quatre mois.

Les sondés sont également plus pessimistes quant à l'état actuel de l'économie. Ce sous-indice est passé de 70,7 à 66,4. Les attentes en la matière ont également baissé, de 64,7 à 61,5.

Les attentes en matière d'inflation pour les 12 prochains mois pointent pour leur part à 3,8 pour cent, contre 4,1 pour cent à la fin du mois de février.

Les prévisions d'inflation pour les cinq prochaines années s'établissent à 2,8 pour cent, légèrement en dessous de la fourchette étroite de 2,9 à 3,1 pour cent observée depuis un certain temps.

A noter que l'enquête a été réalisée avant l'effondrement de la Silicon Valley Bank, a précisé l'université du Michigan dans une note.

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(ABM FN) Voici les principaux points à l'agenda financier belge jusqu'au lundi 27 mars 2023.


LUNDI 20 MARS 2023
00:00 Fountain - Résultats annuels

MARDI 21 MARS 2023
- Aucun point à l’ordre du jour

MERCREDI 22 Mars 2023
07:00 Titan Cement - Résultats annuels
00:00 Nyxoah - Résultats annuels

JEUDI 23 MARS 2023
00:00 Euronav -L'assemblée générale des actionnaires extraordinaire
00:00 Nyxoah - Journée des investisseurs
00:00 Celyad - Résultats annuels
00:00 IBA - Résultats annuels
00:00 Tessenderlo - Résultats annuels

VENDREDI 24 MARS 2023
17:45 WEB - Résultats annuels

LUNDI 27 MARS 2023
- Aucun point à l’ordre du jour

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(ABM FN) Selon ING, la décision de la Banque populaire de Chine d'abaisser les dépôts obligatoires pour les banques est un moyen de stimuler l'économie et de faire face aux turbulences actuelles de l'économie mondiale.

La Banque centrale chinoise va réduire à compter du 27 mars prochain de 25 points de base à 10,75 le taux de réserve obligatoire des banques. Une mesure qui permettra d'injecter quelque 500 milliards de yuans de liquidités.

L'effet de cette réduction pourrait entraîner une baisse des taux d'intérêt et au passage faire baisser les rendements obligataires, ce qui profitera aux promoteurs immobiliers et aux gouvernements locaux dans leur financement, a commenté ING.

Par ailleurs, la diminution des dépôts à détenir par les banques permet de se prémunir contre une éventuelle fuite des capitaux par les investisseurs étrangers. Le cas échéant, ING s'attend à ce que la PBoC injecte des capitaux.

Pour le premier semestre de l'année, ING ne s'attend pas à une autre réduction de la part de la PBoC.

L'effet de la décision sur le taux de change du yuan est limité, avec tout au plus une légère baisse du yuan par rapport au dollar, qui sera de courte durée, selon ING. La banque maintient d’ailleurs son objectif de cours sur le billet vert pour la fin de ce trimestre, à 6,90 yuans.

Le dollar se traitait à 6,8846 yuans vendredi après-midi, en baisse de 0,2 pour cent.

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(ABM FN) Le rouge fait son retour sur les bourses ce vendredi après-midi. Vers 14h30, le Bel20 perdait ainsi plus de 1 pour cent à 3.616 points.

En arrière-plan, les craintes sur le secteur bancaire, alors que Credit Suisse perdait plus de 10 pour cent à l’heure d’écrire ces lignes. De l’autre côté de l’Atlantique, First Republic perdait 16,9 pour cent à l'ouverture, malgré le soutien affiché par les grandes banques américaines hier.

Au sein du Bel20, la plupart des valeurs évoluent désormais dans le rouge, à l’image d’Ageas et de D’Ieteren qui perdent plus de 2 pour cent.

Kepler Cheuvreux dit voir une opportunité intéressante sur Elia et a relevé en conséquence à "Acheter" son conseil sur la valeur, même si l'objectif de cours a été abaissé. L'action du gestionnaire de réseau électrique progresse de 0,8 pour cent.

Fort d’un gain de 1,6 pour cent, Aperam enregistre la plus forte hausse dans l'indice principal.

Degroof Petercam, qui a relevé son objectif de cours sur Bekaert et a confirmé son conseil d'achat, juge la valorisation du tréfileur courtraisien sous-évaluée. De quoi contribuer à la hausse de 1,5 pour cent de l'action.

KBC Securities a repris le suivi de Tessenderlo avec une recommandation Renforcer et un objectif de cours de 38 euros. L'action du groupe industriel prend 1,5 pour cent.

Ameriprise est monté à hauteur de 3,1 pour cent du capital de Care Property, qui lâche 0,7 pour cent.

La cotation boursière sur Telenet est toujours suspendue, et ce en l’absence de la publication du communiqué de presse annoncé jeudi. La plupart des observateurs évoquent une offre de Liberty sur les actions non encore détenues par les américains.

Dans le Bel Mid, mention spéciale à Immobel qui prend 2,7 pour cent. IBA, quant à elle, doit céder 5,2 pour cent.

Parmi les petites actions, Belysse cède 5,6 pour cent, là où Unifiedpost prend 1,7 pour cent.

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(ABM FN) L’investisseur en immobilier de santé Care Property Invest a annoncé ce vendredi que Ameriprise Financial lui a fait part de son entrée au capital.

Le 10 mars, Ameriprise détenait ainsi 3,12 pour cent des droits de vote dans Care Property, dépassant ainsi le seuil de notification de 3 pour cent.

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(ABM FN) Les bourses européennes évoluent en légère hausse ce vendredi, alors que le marché reprend son souffle et se prépare à la semaine prochaine, et aux décisions de la Réserve fédérale et de la Banque d'Angleterre quant aux taux d’intérêts.

Vers 12h30, l'indice STOXX Europe 600 gagnait 0,3 pour cent à 438,50 points, le DAX 0,4 pour cent à 15.022,50 points, le CAC40 français 0,1 pour cent à 7.030,55 points et le  FTSE britannique 0,7 pour cent à 7.458,89 points.

Les investisseurs sont soulagés sachant que la crise bancaire ne s'est pas aggravée. "Le fait que plusieurs institutions américaines aient uni leurs efforts pour sauver First Republic Bank montre que les spéculateurs devraient être prudents quant à leur vision négative du système financier américain", a commenté Naeem Aslam, analyste de marché chez Zaye Capital Markets. "Avec l'intervention des autorités, il est devenu clair que les banques de Wall Street et les décideurs politiques sont prêts à maintenir le système à flot".

Après la hausse de 50 points de base du taux d'intérêt de la BCE jeudi, on notera que l'attention se porte désormais lentement mais sûrement vers sur la réunion de la Fed des 20 et 21 mars.

Sur le marché obligataire, le rendement du dix ans allemand pointe à 2,25 pour cent.

Du côté des prix de l’énergie, le pétrole progresse de 1,5 pour cent à 69,39 dollars le baril de WTI pour livraison en avril, et de 1,2 pour cent à 75,64 dollars le baril de Brent pour livraison en mai.

Sur le marché des changes, l'euro se traitait à 1,0629 dollars au moment d’écrire ces lignes, contre 1,0668 en début de séance ou encore 1,0615 hier soit à la clôture des bourses américaines.

Actualités des entreprises

A Paris, deux tiers des valeurs évoluent dans le vert, avec une mention spéciale à Alstom qui gagne 3,2 pour cent. A la bourse de Francfort, trois quarts des actions évoluent en territoire positif. Infineon prend notamment 3,2 pour cent, tandis que son homologue du secteur à Amsterdam qu’est ASML progresse de 2,8 pour cent.

Wall Street donnée en baisse

Les indices boursiers américains devraient ouvrir en baisse ce vendredi, le contrat à terme sur l'indice S&P 500 reculant de 0,2 pour cent vers midi.

Hier, le S&P 500 a gagné 1,8 pour cent à 3.960,28 points, le Dow Jones 1,2 pour cent à 32.246,55 points et le Nasdaq 2,5 pour cent à 11.717,28 points.

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(ABM FN) La bourse de Bruxelles évolue en hausse ce vendredi en fin de matinée, le Bel20 gagnant 0,2 pour cent à 3.660 points.

Les investisseurs poussent visiblement un ouf de soulagement, la crise bancaire ne semblant pas s'aggraver.

"Le fait que plusieurs institutions américaines aient uni leurs efforts pour sauver First Republic Bank montre que les spéculateurs devraient être prudents dans leur vision négative du système financier américain", a commenté Naeem Aslam, analyste de marché chez Zaye Capital Markets.

Paul Donovan, économiste en chef chez UBS Global Wealth Management, a néanmoins évoqué ce matin la première crise bancaire de l'ère Twitter.

On notera que les investisseurs ont par ailleurs digéré le relèvement de 50 points de base de ses taux directeurs par la BCE ce jeudi. L'attention se porte désormais progressivement sur la réunion de la Fed des 20 et 21 mars.

Sur le marché obligataire, le rendement du dix ans allemand pointe à 2,25 pour cent.

Sur le marché des changes, l'euro se traite en hausse à 1,0645 dollar, tandis que le prix du baril de pétrole Brent pointe à 75,54 dollars ce matin, en hausse de plus d'un pour cent.

Actions en hausse et en baisse

Kepler Cheuvreux voit une opportunité intéressante sur Elia. La recommandation est relevée en conséquence à "Acheter", même si l'objectif de cours a été abaissé. L'action du gestionnaire de réseau électrique progresse de 1,3 pour cent.

Comme d’autres, Deutsche Bank voit lui aussi du grand potentiel pour Solvay, aidant le titre à gagner 1,2 pour cent.

 Fort d’un gain de 3,5 pour cent, Aperam enregistre la plus forte hausse dans l'indice principal. En bas de tableau, Ageas perd notamment 0,7 pour cent.

Degroof Petercam, qui a relevé son objectif de cours sur Bekaert, juge la valorisation du tréfileur courtraisien sous-évaluée. De quoi aider l'action a gagner 2,5 pour cent.

KBC Securities a repris le suivi de Tessenderlo avec une recommandation Renforcer et un objectif de cours de 38 euros. L'action du groupe industriel prend 1,5 pour cent.

La cotation boursière sur Telenet reste suspendue, et ce en l’absence de la publication du communiqué de presse annoncé jeudi. La plupart des observateurs évoquent une offre de Liberty sur les actions non encore détenues par les américains.

Dans le Bel Mid, mention spéciale à Immobel qui bondit de 5,7 pour cent. IBA, quant à elle, doit céder 3,6 pour cent.

Parmi les petites actions, Belysse doit céder 5,6 pour cent. Unifiedpost se distingue avec un gain de 4,5 pour cent. Texaf prend par ailleurs 2,3 pour cent.

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(ABM FN) Maintenant que l'offre d'échange avec Picanol est achevée, KBC Securities a repris le suivi de Tessenderlo avec une recommandation Renforcer et un objectif de cours de 38,00 euros.

Selon KBC, l'entreprise fusionnée dispose de fondamentaux solides et d'un potentiel de croissance important. Le flux de trésorerie disponible annuel d'environ 200 millions d'euros peut être utilisé pour de nouveaux projets de croissance.

KBC estime toutefois qu'une forte augmentation du dividende est peu probable. Le ratio de distribution est d'environ 10 pour cent du bénéfice net.

KBC n'exclut pas que Tessenderlo augmente sa participation dans la société suisse Rieter. Cette participation est actuellement de 15,2 pour cent.

Une deuxième centrale électrique au gaz est une autre option.

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(ABM FN) Degroof Petercam a relevé l'objectif de cours pour Bekaert de 48,00 à 52,00 euros vendredi, et a maintenu la recommandation d'achat.

L'analyste Frank Claassen a déclaré que les résultats de 2022 ont montré que Bekaert a fait preuve d'une plus grande résilience dans des conditions de marché plus difficiles, grâce à la discipline des prix, à l'amélioration du mix et à la maîtrise des coûts.

La transformation en une entreprise aux marges structurellement plus élevées se poursuit, a-t-il ajouté.

Malgré une augmentation du cours de l'action de plus de 40 pour cent au cours des six derniers mois, les multiples ne sont pas historiquement élevés, estime Claassen.

La transformation de Bekaert en une entreprise plus résistante, avec une croissance plus forte, des marges plus élevées et des rendements plus importants, ne se reflète pas du tout dans le cours de l'action, selon l'analyste. L'action est donc encore évaluée à un prix trop bas, selon Claassen.

Il s'attend à ce que les investisseurs reconnaissent de plus en plus que les améliorations sont structurelles et qu'elles doivent être récompensées.

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(ABM FN) Une reprise de Telenet par l'actionnaire principal Liberty serait un choix logique. C'est ce qu'a fait remarquer David Vagman, analyste chez ING, vendredi, après la suspension de la cotation de l'action à la suite d'une hausse de 10 pour cent du cours de l'action dans des volumes importants.

Vagman a fait remarquer qu'avec la valeur de marché actuelle de Telenet fixée à 1,7 milliard d'euros, Liberty ne devrait payer que 600 millions d'euros pour acquérir la totalité de l'entreprise de télécommunications. "Le timing de l'opération est bon, à un moment où les investisseurs sont négatifs à l'égard des actions du secteur des télécommunications", a déclaré Vagman, soulignant le manque de rentabilité des entreprises de télécommunications et les risques liés à la réglementation, entre autres. Le PDG de Liberty a également déclaré que son entreprise disposait de 3,5 milliards de dollars de liquidités et qu'il faut lui trouver une destination.

Pour Liberty, il existe des opportunités de bénéficier de l'infrastructure de Telenet et de se développer en Wallonie, compte tenu de son récent accord avec Orange Belgium. Orange et Telenet ont signé un accord à la fin du mois de janvier, donnant aux deux parties l'accès au réseau fixe de l'autre sur une période de 15 ans. "En outre, les inquiétudes concernant le nouvel acteur Digi s'avéreront finalement exagérées", estime Vagman.

ING a une recommandation Conserver pour Telenet avec un objectif de cours de 17,00 euros.

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