Le mal belge du marché du travail n’est pas le chômage mais l’inactivité, et ce n’est pas qu’un mal francophone

Si le gouvernement veut atteindre le taux d’emploi de 80%, il devra faire plus qu’activer les chômeurs.

Pourquoi est-ce important ?

Un taux d'emploi élevé rend beaucoup de choses plus simples. Plus d'argent pour la sécurité sociale et indirectement moins de déficits et une meilleure soutenabilité de la dette. Ce dont la Belgique a bien besoin.

Dans l'actu : une nouvelle étude menée par Stijn Baert (UGent), économiste et spécialiste du marché du travail, qui pointe 9 chiffres marquants.

  • On vous a déjà beaucoup parlé de ce mal belge sur Business AM. Le principal problème n'est pas tant le nombre de chômeurs, mais le nombre de personnes inactives, c'est-à-dire des personnes bénéficiant de l’assurance-maladie, des prépensionnés ou des bénéficiaires de revenus d’intégration sociale (CPAS).
  • Au niveau de la B
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