Le temps des questions : pourquoi le niveau de menace terroriste n’a-t-il pas été relevé avant ? Et pourquoi l’assaillant ne figurait-il pas sur la liste de l’OCAM ?

Comment se fait-il qu'un homme manifestement radicalisé, résidant illégalement en Belgique depuis des années, ait pu assassiner deux supporters suédois dans les rues de Bruxelles, à l'aide d'une arme de guerre ? Pourquoi le niveau d'alerte n'était-il pas plus élevé avant cet attentat ? Ces questionnements, et la responsabilité politique qui en découle, troublent la capitale aujourd'hui. La Ministre de l'Intérieur, Annelies Verlinden (cd&v), qui a longuement communiqué en direct dep

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