Les 10 meilleurs films de tous les temps à voir une fois dans une vie

Dans l’histoire du cinéma, il y a des films cultes, de par leur scénario, leur production ou les acteurs au casting. Voici 10 dix meilleurs films à voir. Un savant mélange entre la critique et notre point de vue.

1. Citizen Kane

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Réalisé par Orson Welles, Citizen Kane est considéré par beaucoup comme le plus grand film de l’histoire. Et il y a énormément de raisons à cela, en voici quelques-unes. Parlons d’abord du synopsis. Le film, sorti en 1941 aux États-Unis, raconte la vie de Charles Foster Kane, un magnat des médias au charisme certain qui passe à côté de la présidence américaine à cause d’un adultère. Il meurt seul dans son immense manoir en prononçant ce dernier mot: « Rosebud » (bouton rose en français). Le film va alors tourner autour du mystère de ces dernières paroles. On aura donc droit à des témoignages des proches de Kane pour essayer de découvrir la signification de cet étrange mot.

À l’époque, le film est clairement novateur grâce à sa narration. En effet, il est essentiellement composé de flash-back qui interviennent lors des interviews des proches de Kane. En 1940, les flash-back sont nouveaux dans le cinéma ou du moins, peu utilisés. Le film est alors troublant pour le spectateur. Autre aspect troublant: il est très difficile de se faire un avis sur Kane. Parfois il parait comme un brave homme et parfois comme la plus grande des crapules. La perception du héros change selon les témoignages des proches et il est difficile de savoir ce qui est vrai et ce qui ne l’est pas.

Passons les aspects techniques de la réalisation qui sont tous révolutionnaires pour l’époque (profondeur de champ, décor plafonné, traveling…) pour nous intéresser aux retombées du film. En fait, Citizen Kane est presque un film biographique. Le film raconterait la vie de William Randolph Hearst, un homme d’affaires américain et surtout magnat de la presse écrite très actif dans la politique de son pays. Après la diffusion du film, il avait interdit à ses journalistes d’en parler. Il avait également essayé d’interdir sa diffusion dans les salles. Bref, Citizen Kane a inspiré des milliers de réalisateurs comme Stanley Kubrick ou Steven Spielberg et restera quoi qu’il arrive un des plus grands films de tous les temps.

2. 2001, l’Odyssée de l’Espace

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Sorti en 1968, ce film signé Stanley Kubrick a tout simplement posé les bases des films de science-fiction. Un petit mot sur le synopsis: le film commence à l’époque des Australopithèques qui découvrent un monolithe noir devant leur grotte. Après l’avoir touché, ils ont subitement l’idée d’utiliser des os comme armes pour chasser. Après une scène de bagarre, on switche de la préhistoire à l’espace en moins d’une seconde, preuve de l’évolution fulgurante de l’homme. En fait, ces monolithes noirs sont des objets venus de l’espace pour influencer l’évolution humaine (souvent par le biais de la violence, un thème récurrent chez Kubrick).

Au fil du film, les héros organisent une expédition jusque Jupiter suite à d’étranges signaux émis par un monolithe placé sur la lune. Le film traite donc de l’évolution de l’homme, la place de la technologie dans nos vie ou encore de l’intelligence artificielle, des thèmes qui n’étaient presque pas évoqués à l’époque. On vous laisse découvrir le dénouement de ce très long-métrage (2h30) car l’important ici est l’aspect technique du film qui est tout simplement exceptionnel pour l’époque: les décors sont incroyablement immersifs et futuristes, les effets spéciaux sont en avance sur leur temps et la bande son est proche de la perfection. C’est simple: l’équipe technique est titanesque: 25 spécialistes des effets spéciaux (dont Harry Lange et Frederick Ordway, tous deux issus de l’industrie spatiale), 35 décorateurs de plateau et 70 autres techniciens.

Un chef d’oeuvre dont les interprétations divergent encore, Kubrick ayant fait le choix de laisser plusieurs interprétations possibles au scénario.

3. La Ligne Verte

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Lorsqu’on regarde sur différents sites quels sont les films les plus marquants pour les internautes, La Ligne Verte de Franck Darabont revient presqu’à chaque fois. Il faut dire que ce film de presque trois heures marque durablement les esprits. Le pitch est simple: Paul Edgecombe (Tom Hanks) est le gardien-chef dans le couloir de la mort d’un pénitencier de Louisiane. Il est chargé de s’occuper des détenus condamnés à la chaise électrique: il doit les surveiller, accomplir leurs dernières volontés et ensuite les exécuter. Un jour, un détenu un peu spécial arrive au pénitencier: John Coffey, « comme le café sauf que ça s’écrit pas pareil ».

Il s’agit d’un gros balèze accusé d’avoir tué deux petites filles et qui a la malchance d’être noir. Il est en effet accusé à tord puisque cet homme est tout simplement la gentillesse et la bienveillance incarnée. Ce film traite remarquablement la question de la peine de mort mais sous un angle inédit: celui des gardiens qui doivent sans cesse prendre la vie de personnes, parfois les pires crapules de la terre mais aussi parfois des innocents.

Le film pose alors la question suivante: la justice est-elle juste et immuable? Il traite également du racisme très présent à l’époque dans le sud des États-Unis puisque John Coffey est surtout condamné à cause de sa couleur de peau. L’ambiance du film est tout simplement géniale et immersive voire oppressante, les acteurs sont parfaits, les thèmes sont merveilleusement bien traités et le rythme est bien géré pour un film aussi long. Bref, La Ligne Verte est une véritable expérience à vivre au moins une fois dans sa vie.

4. Pulp Fiction 

Il suffit de taper « film culte » sur Google pour instantanément tomber sur Pulp Fiction tant ce film de Quentin Tarantino a marqué les esprits. Répliques cultes, casting fantastique, bande originale marquante, il y a trop à dire sur ce film qui a marqué son époque et influencé le cinéma. Le film a cette particularité de raconter trois histoires distinctes qui finissent par se rassembler à la fin du film, une narration commune chez les romanciers mais encore très rare chez les réalisateurs. Il est donc difficile de faire un bête résumé du film.

On peut, par contre, dire que Pulp Fiction est un film de gangster de style noir. On suit en effet une série de truands qui vivent quelques aventures un peu insolites. Le film joue évidemment avec les codes des polars noirs et fait une centaines de références à la culture populaire. Avec Bruce Willis, Samuel L. Jackson, John Travolta et Uma Thurman, le casting est tout simplement savoureux et on se plait à suivre les personnages pendant plus de 2h30. Bref, presque tout est culte dans Pulp Fiction: l’étrange mallette, la scène de danse entre Travolta et Thurman, le verset récité par Samuel L. Jackson: TOUT.  Attention par contre, le film est très violent mais Tarantino est parvenu à rendre ça presque banal et inaperçu grâce aux dialogues souvent très drôles et bien écrits. Ce n’est pas pour rien que le film a été classé 94ème du classement des meilleurs films américains de l’histoire selon l’AFI.

Pulp Fiction avait aussi reçu la Palme d’or au Festival de Cannes de 1994.

5. Full Metal Jacket 

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Pour représenter tous les genres de films, nous voulions incorporer un film de guerre à ce classement. On aurait pu citer Apocalypse NowIl faut sauver le soldat Ryan ou La Ligne Rouge, mais on a décidé de citer Full Metal Jacket de Stanley Kubrick, encore lui. La raison? Full Metal Jacket ne se limite pas aux champs de bataille et à la boucherie mais offre un regard critique face à la guerre et à l’armée en général.

Dans ce film un peu barré, on suit de jeunes soldats en pleine formation dans un camp d’entrainement américain. On y découvre la violence et la difficulté des formations de soldats qui laissent peu de place à l’humanité. Ensuite, on assiste à l’arrivée de ces jeunes recrues sur le champ de bataille au Vietnam. On retient surtout de ce film le sergent instructeur Hartman, interprété par le génial Ronald Lee Ermery. Le personnage passe son temps à humilier et insulter les jeunes soldats et l’interprétation de l’acteur est tout simplement géniale puisqu’il a improvisé 60% de son texte. Ce personnage a été parodié de multiples fois, notamment par Benoît Poelvoorde, dans le cadre de ses sketchs de Monsieur Manatane (voir vidéo ci-contre).

Grâce à ce film, et surtout grâce à sa première partie, Stanley Kubrick veut faire voir la place proéminente de la violence dans la société: il montre qu’un homme devient un homme seulement quand il découvre la violence, c’est aussi un des thèmes de L’Odyssée de l’Espace. Il montre ainsi comment la violence se développe chez les soldats et comment elle parvient à aveugler les soldats qui, dans le fond, ne savent pas pourquoi ils se battent. Grâce au personnage de « Guignol » (Joker en anglais), qu’on nous présente comme cultivé et intelligent, on voit comment son esprit disparait sous les coups de la violence. Bref, c’est un film intelligent qui apporte un angle intéressant à la guerre du Vietnam et qui parvient à nous faire rire malgré la violence, la vulgarité et la tristesse de la guerre.

6. La Haine

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Il fallait un film français à cette sélection, donc nous avons choisi La Haine car il évoque un vrai message sociétal, à savoir le problème des banlieues françaises et leurs violences policières. Réalisé par Matthieu Kassovitz en 1995, La Haine a fortement marqué le cinéma français car il traite un sujet qui concerne beaucoup de Français dans l’Hexagone. Le film commence, en effet, le lendemain d’une nuit d’émeute dans une cité française en banlieue parisienne. Cette nuit-là, un jeune de la cité est grièvement blessé par des policiers. On suit alors un trio composé de Vincent Cassel, Hubert Koundé et Saïd Taghmaoui dans leur cité dans la première partie, et à Paris dans la seconde (les acteurs gardent leur vrai prénom dans le film). Vincent cherche à se venger, Hubert veut tout simplement quitter la cité et Saïd, lui, essaie de concilier les deux autres.

Le film a été écrit par Matthieu Kassovitz en 1993, en pleine affaire M’Bowolé. Pour rappel, il s’agit d’une affaire judiciaire concernant le meurtre d’un jeune de cité par un policier en plein interrogatoire. À travers ce long-métrage, Kassovitz rappelle que les cités avaient été crées lors des Trentes Glorieuses où l’on espérait que l’on puisse vivre heureux dans ces quartiers… une belle utopie. Mais malheureusement, la situation devient vite intenable pour les résidents des HLM et les cités deviennent rapidement des poudrières où tout peut péter en un instant. D’où le célèbre « Jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien », célèbre réplique du film. Mais l’important ce n’est pas la chute, c’est l’atterrissage. Et grâce au film, Kassovitz essaie de montrer que l’atterrissage est souvent violent en banlieue.

Il y a des tonnes de choses à dire sur ce film, mais il faut préciser qu’il avait remporté la palme de la meilleure mise en scène au Festival de Cannes en 1995 et il y a de multiples raisons à cela. Par exemple, Kassovitz a énormément utilisé des codes du documentaire: images d’archives, caméra épaule et un récit découpé selon les heures où se déroule l’action, comme dans l’émission 24 Heures, diffusée à l’époque sur Canal +. Autre exemple, Kassovitz utilise des distances focales différentes en fonction de l’environnement des héros. Dans la cité, la distance focale est courte, pour faire des plans larges et montrer que le héros se sent à l’aise dans son environnement. À Paris, il recule la caméra tout en zoomant, ce qui a pour effet d’écraser la perspective. Il utilise aussi une distance focale longue pour que les plans soient moins larges. Ainsi, il veut signifier aux spectateurs que les héros sont en décalage avec leur environnement. En bref, ce film est à voir pour le sujet qu’il traite, les acteurs et la mise en scène.

7. The Big Lebowski

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Cette sélection manquait de comédies, voici The Big Lebowski, des frères Coen. Ce film complètement barré nous présente Jeff Lebowski (Jeff Bridges), un fainéant au chômage qui passe sa vie à jouer au bowling avec ses deux potes, Walter Sobchak (John Goodman) et Donny (Steve Buscemi), et à boire des White Russians. Un jour, en rentrant chez lui, deux voyous l’attendent pour récupérer du fric que Jeff (qui se fait appeler « le Duc ») ne doit pas. Les deux mecs finissent par pisser sur son tapis avant de se rendre compte qu’ils se sont trompés de Jeff Lebowski. En effet, un homonyme habite également dans la ville de Los Angeles. Le Duc décide alors d’aller chez son homonyme pour se faire rembourser son tapis. S’en suit toute une série de péripéties, toutes aussi barrées les unes que les autres.

Si le film n’avait pas fait grand bruit à sa sortie, cette ode à la non-performance et à la fainéantise est rapidement devenue culte au fil des années. À tel point qu’une religion est née autour du film: le dudeisme, en référence au terme « dude », surnom de Jeff dans le version originale. Les préceptes de la religion sont simple: on ne fait rien, on déambule en peignoir et on boit des White Russians. En 2015, cette religion comptait environ 220.000 prêtres dans le monde. Il faut dire que le personnage est extrêmement bien interprété par Jeff Bridges, qu’il a plusieurs répliques cultes et que les aventures qu’il vit sont complètement barges. Par exemple, son ex-femme utilise son sperme malgré lui pour tomber enceinte…

Pour résumer le film, laissons la parole à l’écrivain Olivier Maulin, auteur de la postface de Je suis un Lebowski, tu es un Lebowski: « On est bien au-delà d’une simple farce. Dans un monde rationalisé et tourné vers la rentabilité, le Dude propose une forme de rébellion salvatrice. C’est un film post idéologique: le Dude fait la révolution tout seul dans son coin. Mais il peut, si on l’imite, ébranler le système. »

8. Les Infiltrés

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Il nous semblait important de placer un film de Martin Scorsese dans cette sélection, tant sa filmographie a influencé le cinéma. On aurait pu citer Taxi DriverLes AffranchisShutter IslandRaging Bull ou encore Aviator, mais nous avons choisi Les Infiltrésmoins connu. Il faut s’accrocher car le casting est complètement démentiel: Leonardo DiCaprio, Jack Nicholson, Matt Damon, ou encore Mark Wahlberg, tout simplement délicieux dans son rôle de sergent au lexique d’insultes infini. Le film se passe à Boston, où se déroule une lutte sans merci entre la police et la mafia irlandaise menée par Franck Costello (Jack Nicholson). Celui-ci enrôle très jeune le petit Colin Sullivan (Matt Damon), qu’il façonnera à sa guise pour le faire devenir ce qu’il veut: flic dans la police d’État du Massachusetts, chargé de débusquer les grandes pontes du crime organisé de Boston. Voilà le premier infiltré.

Dans la même promotion que Colin, on retrouve Billy Costigan (Leonardo DiCaprio). Il se fait rapidement remarquer pour ses origines: son père vient des quartiers pauvres et sa mère des quartiers huppés de Boston. Les responsables de la police voient en lui une superbe opportunité d’en faire un infiltré. Ils lui inventent un casier judiciaire, le mettent en prison pour un crime qu’il n’a pas commis et le voilà infiltré. Le reste du film consistera en la traque des rats. Colin cherche Billy et Billy cherche Colin, tout en gérant le caractère atypique et dangereux de Costello.

Le film est superbement écrit et retranscrit bien les violences qu’a connues la ville de Boston. Grâce à ses personnages, Scorsese aborde toutes sortes de thèmes comme la paternité, très présente dans le film, avec des pères de substitution (Costello et Colin, par exemple). Il aborde aussi l’enfance en montrant que chaque personnage veut à tout prix s’échapper de ce qu’il a vécu plus jeune, sans vraiment y parvenir. Si le film est rythmé, drôle et bien écrit, la fin peut être brutale pour certains. On n’en dira pas plus, à vous de la découvrir. Le film vaut le coup puisqu’il a été récompensé de l’Oscar du meilleur film, meilleur réalisateur et meilleur montage en 2007.

9. Love Actually

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Cette sélection de films manque d’amour, vous ne trouvez pas? Pour parler de ce sentiment spécial, on a rien trouvé de mieux que Love Actually. Le film présente différents aspects de l’amour au travers de dix histoires distinctes qui finissent par s’entremêler. Le film se déroule quelques semaines avant Noël et tous les personnages essaient de vivre la parfaite fête de Noël avec la personne qu’ils aiment. On a de tout: un jeune couple marié, un politique qui se tape une collaboratrice, une rock-star et son manager, et même un enfant amoureux d’une fille de son école.

La diversité des personnages permet d’envisager l’amour sous plusieurs angles, le tout sur fond de fête de Noël, une période où la magie est sensée opérer. La force du film est sans aucun doute son casting 5 étoiles: Hugh Grant, Liam Neeson, Emma Thompson, Keira Knightley, Alan Rickman, ou encore Andrew Lincoln. Ces acteurs permettent un attachement aux personnages immédiat et une immersion dans ces diverses histoires, toutes plus drôles et émouvantes les unes que les autres. Un film à voir au moins une fois pour lâcher une petite larme devant son écran avec un sourire béa.

10. Psychose

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On était un peu obligé de placer Alfred Hitchcock quand on parle des films à voir au moins une fois. Et comme on n’avait pas encore de film d’horreur, faisons d’une pierre deux coups avec Psychose. Un mot sur le synopsis: Marion Crane et son amant veulent vivre le grand amour mais il y a un souci: ils n’ont pas d’argent. Alors, Marion vole 40.000 dollars à son patron et prend la fuite en voiture pour rejoindre son mec. Au bout d’un long périple, elle finit par s’arrêter au motel de Norman Bates. C’est là que ça va commencer à chauffer puisque Marion sera assassinée sous la douche dans une scène devenue cultissime. Le reste du film consistera en la recherche du tueur de la pauvre Marion.

C’est simple, avec Psychose, Hitchcock a véritablement transformée le film d’horreur. On peut même dire qu’il a en quelques sortes inventé le genre slasher, qui consiste en un méchant qui poursuit et tue plusieurs personnes. Hitchcock a tout simplement inventé le serial killer au cinéma, puis il sera imité pendant des dizaines et des dizaines d’années car, rappelons-le, le film est sorti en 1960! Sans compter que la scène de la douche a sans doute été parodiée des centaines de fois et que les musiques (Bernard Herrmann) sont devenues si cultes qu’elles sont souvent réutilisées dans diverses oeuvres de cinéma ou d’animation (dans les Simpson par exemple).

La scène de la douche mérite sa popularité car elle a demandé énormément de boulot. Elle a, en effet, été tournée en sept jours et en 70 prises coûtant 60.000 dollars. Ça valait le coup car l’impact de la scène est sans égal, et elle a fait passer Hitchcock au rang de maître du suspense et de l’horreur. Bref, Psychose est un chef d’oeuvre dans bien des aspects et il mérite amplement d’être vu au moins une fois dans une vie.

Les oubliés

Bien évidemment, il est impossible de faire une liste exhaustive. Nous avons donc sélectionné 10 films, tous différents pour représenter un maximum de genres. On aurait également pu citer des chefs d’oeuvre comme Shining, Retour vers le Futur, Forrest Gump, Edward aux Mains d’argent, Le Magicien d’Oz, Les Évadés, Le Dictateur, Requiem for a Dream, Titanic, Taxi Driver, Reservoir Dogs… Bref, la liste est bien trop longue.

Le classement ci-dessus est donc subjectif, même si l’on s’est fié à plusieurs sélections réalisées par des sites spécialisés en cinéma.

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