Les marchés contrastés de l’énergie : deux bonnes nouvelles pour le gaz naturel, une mauvaise pour le mazout

La période de chauffe en Europe, qui s’étend de début octobre à fin mars, approche à grands pas. Cette année, il semble que nous puissions éviter une crise telle que celle vécue en 2022 avec le gaz naturel. On ne peut pas en dire autant pour le pétrole.

Pourquoi est-ce important ?

Depuis que l'Europe a considérablement réduit ses importations de gaz en provenance de Russie, le marché du gaz naturel s'est avéré particulièrement instable. L'année dernière, cette situation a provoqué une flambée des prix, alimentant l'inflation et compliquant la vie des ménages et des entreprises. Cependant, grâce à plusieurs initiatives et une part de chance, l'Europe a réussi à traverser l'hiver. Cette année, les perspectives paraissent encore plus encourageantes. Ce qui ne sera pas le cas du pétrole.

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En bref : Les réserves de gaz en Europe sont actuellement remplies à 94%. Les prévisions pour le gaz naturel sur le marché néerlandais de référence, le TTF, ont chuté à environ 35 euros par mégawattheure (MWh), contre 350 euros à la même époque l'année dernière. Mais le marché a connu certains

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