Dans l’actualité : l’Organisation mondiale du tourisme prévoit une reprise presque totale du nombre de passagers pour l’année 2023.

• Les dépenses liées aux voyages d’affaires devraient également retrouver leur niveau d’avant la pandémie en 2024.
• C’est une bonne, mais aussi une mauvaise nouvelle. La demande de vols étant supérieure à l’offre, les prix ont augmenté plus rapidement que l’inflation, ce qui a dopé les bénéfices des compagnies aériennes.
• Mais dans le même temps, l’industrie du transport aérien se débat avec la reprise des capacités et la hausse des prix des billets.

Zoom sur la situation : aux États-Unis, le nombre de retards de vols atteint des niveaux record et pèse sur les opérations.

• Renverser les licenciements massifs qui ont eu lieu durant la pandémie prend du temps
• Des villes comme Paris, Bruxelles, New York et Berlin introduisent des restrictions sur des plateformes comme Airbnb.
• Ces dernières parlent souvent d’une « interdiction de facto ». À New York, par exemple, le propriétaire doit désormais être présent pendant le séjour de ses hôtes.

Zoom arrière : l’augmentation des voyages peut être influencée par les développements économiques, en particulier en Chine.

• Le Conseil mondial du voyage et du tourisme prévoit que les dépenses chinoises en matière de voyages et de tourisme à l’étranger atteindront environ neuf dixièmes des niveaux de 2019 en 2024, contre la moitié en 2023.
• Dans le même temps, les gouvernements cherchent à équilibrer le tourisme et les besoins de logement des résidents en matière de location.

En résumé : alors que l’industrie du voyage se rétablit et s’adapte à de nouvelles normes, les voyageurs en 2024 seront confrontés à des circonstances changeantes allant des retards d’avion à des réglementations plus strictes sur les locations.

(JM)