Principaux renseignements
- Les immatriculations de voitures particulières neuves ont baissé de 10,9 pour cent par rapport à la même période en 2024.
- Les véhicules utilitaires légers ont enregistré une augmentation de 9,5 pour cent des immatriculations au cours du premier semestre 2025.
- Les véhicules utilitaires lourds ont connu des baisses dans les deux segments, les véhicules de moins de 16 tonnes ayant chuté de 4,6 pour cent et ceux de plus de 16 tonnes de 9,4 pour cent.
Après une année 2024 solide, le marché automobile belge a affiché des résultats contrastés au premier semestre 2025. Le nombre d’immatriculations de voitures particulières neuves a reculé de 10,9 pour cent par rapport à la même période de l’année précédente, pour atteindre un total de 234.616 véhicules. Alors que les achats des particuliers ont progressé de 5 pour cent, ceux des entreprises ont chuté de 20,9 pour cent. Les moteurs à essence sont restés le choix préféré des conducteurs belges, suivis par les modèles entièrement électriques et les hybrides auto-rechargeables. C’est ce qu’indique Febiac.
Reprise du marché des véhicules utilitaires
En revanche, le marché des véhicules utilitaires légers a connu une forte croissance, enregistrant une hausse de 9,5 pour cent des immatriculations au cours du premier semestre 2025. Cette tendance positive s’est poursuivie pour le sixième mois consécutif, donnant lieu à 39 392 immatriculations contre 35 976 à la même période l’année dernière.
Les véhicules utilitaires lourds ont connu des difficultés en juin, avec des baisses significatives dans les deux segments : ceux de moins de 16 tonnes (-28,1 pour cent) et ceux de plus de 16 tonnes (-30,3 pour cent). Au cours du premier semestre, les immatriculations de véhicules utilitaires lourds de moins de 16 tonnes ont diminué de 4,6 pour cent, tandis que celles de plus de 16 tonnes ont chuté de 9,4 pour cent.
Marché des motocycles
Le marché des motocycles a connu une évolution positive en juin, avec une augmentation des immatriculations de 5,6 pour cent par rapport à juin 2024. Cependant, la tendance globale pour le premier semestre 2025 montre une baisse de 7 pour cent par rapport à la même période en 2024.
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