La ministre britannique des finances Rachel Reeves espère conclure un accord avec Trump aux États-Unis


Principaux renseignements

  • Le chancelier de l’Échiquier britannique souhaite un accord commercial avec les États-Unis qui réduise les droits de douane sur l’acier, les voitures et l’aluminium britanniques.
  • La décision du président Trump concernant les droits de douane potentiels sur les produits pharmaceutiques reste incertaine et pourrait avoir un impact sur l’accord.
  • L’accord commercial devra être renégocié si Trump impose des taxes sur les importations de produits pharmaceutiques.

Rachel Reeves, la chancelière britannique, s’est rendue à Washington dans l’espoir de conclure un accord commercial avec les États-Unis. Si le texte de l’accord est finalisé, il reste tributaire de la décision du président Trump concernant d’éventuels droits de douane sur les produits pharmaceutiques. Reeves souhaite convaincre l’administration Trump de réduire les droits de douane sur l’acier, les voitures et l’aluminium britanniques.

  • Bien que le projet d’accord n’aborde pas actuellement les produits pharmaceutiques en raison de l’incertitude entourant les droits de douane potentiels, les responsables britanniques sont prêts à réagir rapidement si nécessaire.

L’espoir d’un accord

Au cours de sa visite, Reeves rencontrera Scott Bessent, son homologue américain, qui est considéré comme réceptif à un accord commercial avec le Royaume-Uni. L’objectif principal de Mme Reeves est de persuader le président Trump de signer l’accord.

L’accord proposé implique que le Royaume-Uni réduise sa taxe sur les services numériques pour les entreprises américaines en échange d’un allègement des droits de douane de 25 pour cent sur l’acier, l’aluminium et les voitures. Bien que satisfaits de l’accord, les responsables britanniques reconnaissent que la décision finale revient uniquement au président Trump.

Inquiétudes économiques du Royaume-Uni

Au cours de sa visite, Reeves rencontrera Scott Bessent, son homologue américain, qui est considéré comme réceptif à un accord commercial avec le Royaume-Uni. L’objectif principal de Mme Reeves est de persuader le président Trump de signer l’accord.

  • Dans le cadre de l’accord proposé, le Royaume-Uni réduira les taxes sur les services numériques pour les entreprises américaines en échange d’une exemption des droits de douane de 25 % sur l’acier, l’aluminium et les voitures.

Si Trump impose des droits de douane sur les importations de produits pharmaceutiques, une exportation majeure du Royaume-Uni vers les États-Unis, l’accord devra être renégocié. Même si l’accord commercial est signé, l’impact sur l’économie britannique devrait être minime.

Fonds monétaire international

Le Fonds monétaire international a récemment revu à la baisse les prévisions de croissance du Royaume-Uni pour cette année, en raison de facteurs nationaux et de l’impact des tarifs douaniers. Les coûts d’emprunt du gouvernement et la hausse des prix de l’énergie sont cités comme les principaux facteurs ayant contribué à cette révision à la baisse.

  • Reeves tentera également de convaincre les économistes du FMI de prendre en considération les initiatives du gouvernement en faveur de la croissance, notamment la libéralisation du système de planification.

Le Parlement débattra de ces changements lors de l’examen en commission du projet de loi sur l’aménagement du territoire dans le courant de la semaine, où l’on s’attend à ce que d’autres amendements encouragent les projets de logement et d’infrastructure.

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