Peu après le début de la guerre en Ukraine, l’UE s’est empressée de conclure des accords avec des pays « plus fiables » pour remplacer le gaz russe par du GNL. Elle avait notamment négocié avec les deux plus grands producteurs de Méditerranée orientale : Israël et l’Égypte. En partie à cause du conflit israélo-palestinien, la coopération tripartite tombe déjà à l’eau.
Un deal conclu l’an dernier par l’UE pour remplacer le gaz russe par du GNL tombe déjà à l’eau : « Irréalisable »

Pourquoi est-ce important ?
Même s'il y a eu des inquiétudes, le nouvel embrasement du conflit israélo-palestinien n'a jusqu'à présent pas eu de réelles répercussions sur l'approvisionnement énergétique européen. La crainte était d'autant plus vive que le précédent conflit d'envergure (Russie/Ukraine) avait lui précipité le Vieux Continent dans une grave crise énergétique. Il ne faut toutefois jamais dire jamais.Dans l'actu : l'UE peut faire une croix sur le GNL égyptien.
- Selon un rapport de l'Oxford Institue of Energy Studies relayé par Reuters, l'Union européenne ne doit plus s'attendre à recevoir du GNL depuis l'Égypte à court et moyen termes.
Contexte : accord à trois pour remplacer le gaz russe.
- En juin 2022, l'UE s'assurait de nouveaux approvisionnements en GNL via un protocole d'accord sur les exportations de gaz entre l'Égypte, Israël et elle. Les trois parties s'étai
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