Dans le dernier tableau comptable de la Vivaldi, une ligne de 150 millions du côté des recettes. 150 millions d'euros qui sont le fruit de l'augmentation de la taxe bancaire. La Febelfin, la fédération des banques, s'est sentie une nouvelle fois visée et a tiré à boulets rouges sur le gouvernement fédéral, en brandissant une menace : cela retombera sur la tête des épargnants. Pour Eric Dor, économiste à l'IESEG, les banques font de l'excès de zèle.
Dans l'actu : Eric Dor épin