L’UE parvient lentement mais sûrement à se sevrer des combustibles fossiles russes, mais elle reste le plus gros client de Moscou

L'Union européenne souhaite s'éloigner des combustibles fossiles russes, mais c'est plus facile à dire qu'à faire. Au mois de septembre, elle en est restée le plus grand importateur.

C'est ce qui ressort d'un rapport du Centre de recherche sur l'énergie et l'air pur (CREA), une société de recherches finlandaise. Depuis le début de l'invasion de l'Ukraine par la Russie en février, l'UE a déjà importé pour 100 milliards d'euros de combustibles fossiles russes. Aujourd'hui, l'Union

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