Les dirigeants mondiaux condamnent les frappes aériennes israéliennes sur l’Iran et appellent à la modération


Principaux renseignements

  • Les dirigeants mondiaux condamnent les frappes aériennes israéliennes sur l’Iran et appellent à la retenue.
  • Les nations européennes soulignent la nécessité d’une désescalade et d’un retour à la diplomatie, tandis que les dirigeants asiatiques et russes expriment leur inquiétude face à l’escalade des tensions.
  • Les dirigeants de plusieurs pays, dont l’Arabie saoudite, les Émirats arabes unis, le Qatar et la Turquie, appellent à un cessez-le-feu, à la condamnation de l’agression israélienne et à la prévention de nouvelles effusions de sang.

Les dirigeants mondiaux ont réagi avec inquiétude aux frappes aériennes menées cette nuit par Israël contre l’Iran, exprimant leurs vives préoccupations face à l’escalade des tensions et appelant à la retenue. Les nations européennes ont insisté sur la nécessité d’une désescalade et d’un retour à la diplomatie. Le Royaume-Uni a souligné qu’une nouvelle escalade menaçait la paix et la stabilité régionales, tandis que l’Irlande a mis l’accent sur le risque d’un conflit plus large et de ses retombées. La France a souligné l’importance d’utiliser les voies diplomatiques et a reconnu les préoccupations antérieures concernant le programme nucléaire iranien.

Les nations européennes s’unissent

L’Allemagne a affirmé le droit d’Israël à se défendre, mais a également condamné le programme nucléaire iranien, qui constitue une menace pour la région. La Finlande a souligné la nécessité d’adopter des résolutions politiques pour relever les défis en matière de sécurité, tandis que la Belgique a appelé à la plus grande retenue et mis en garde contre toute nouvelle instabilité. L’Espagne a fermement condamné les actions israéliennes, appelant à des sanctions et à une voie multilatérale vers la paix.

Les dirigeants asiatiques et russes se prononcent

Au-delà de l’Europe, les dirigeants asiatiques et russes ont également fait part de leurs préoccupations. La Malaisie a condamné l’attaque et a exhorté les partenaires d’Israël à faire pression pour mettre fin à l’agression. La Chine a proposé de contribuer aux efforts de désescalade, tandis que la Russie a dénoncé les frappes comme étant catégoriquement inacceptables. Le secrétaire général des Nations unies a exprimé sa profonde inquiétude, notamment en ce qui concerne le ciblage d’installations nucléaires dans le contexte des pourparlers en cours entre l’Iran et les États-Unis au sujet de son programme nucléaire.

Les réactions régionales s’intensifient

Les réactions régionales ont été tout aussi fortes. L’Arabie saoudite a condamné l’agression israélienne, soulignant la violation de la souveraineté de l’Iran et du droit international. Les Émirats arabes unis, malgré leurs relations diplomatiques avec Israël, ont appelé à un cessez-le-feu et ont demandé au Conseil de sécurité des Nations unies de prendre des mesures. Le Qatar a dénoncé les frappes comme une violation de la souveraineté iranienne et du droit international. La Turquie a souligné la nécessité d’éviter de nouvelles effusions de sang et de nouvelles destructions dans la région.

Les politiciens américains réagissent

Le président américain Donald Trump a confirmé avoir été informé avant les frappes aériennes, tandis que l’actuel secrétaire d’État Marco Rubio a réaffirmé que les États-Unis se concentraient sur la protection des troupes américaines et la recherche d’une solution diplomatique avec l’Iran. La situation s’est encore aggravée lorsque l’Iran a lancé des drones en direction d’Israël, déclenchant l’état d’urgence et renforçant les craintes d’un conflit plus large.

Les deux parties étant en état d’alerte et la pression internationale s’intensifiant pour une désescalade, les prochains jours seront décisifs pour déterminer si la région peut s’éloigner du bord du gouffre ou s’enfoncer davantage dans le conflit.

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