Alors que l’UE a stabilisé ses importations de GNL russe, la Belgique les a (fortement) augmentées

Depuis plusieurs mois, la Belgique est particulièrement pointée du doigt pour ses importations de gaz naturel liquéfié (GNL) russe. Les nouveaux chiffres publiés par le think tank IEEFA montrent que notre pays continue d’augmenter la cadence. La Belgique est l’un des meilleurs clients de la Russie.

Pourquoi est-ce important ?

C'est désormais connu de tous : en réponse aux sanctions européennes vis-à-vis de la situation en Ukraine, la Russie a arrêté de fournir une bonne partie de son gaz au Vieux Continent. Mais on parle là du gaz envoyé par gazoduc. Pour le GNL, transporté par bateau, c'est une autre histoire. Depuis la guerre, les échanges russo-européens ont augmenté. Et la Belgique y joue un rôle majeur.

Dans l'actu : contrairement à ses voisins européens, la Belgique achète davantage de GNL russe.

  • Selon un rapport du think tank IEEFA (Institute for Energy Economics and Financial Analysis), les importations européennes de GNL russe sont jusqu'à présent restées stables entre 2022 et 2023.
  • Mais il y a des exceptions dans certains pays, dont la Belgique.

Les détails : les USA d'abord, la Russie ensuite.

  • Selon l'IEEFA, les pays de l'UE ont déboursé 17,21 milliards
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