Bart De Wever peut continuer à être formateur après sa visite au roi Philippe

Bart De Wever (N-VA) a terminé sa visite au roi Philippe, qui a eu lieu cet après-midi. En tant que formateur, il devait s’y rendre pour présenter un rapport intermédiaire. Après que toutes les parties de l’Arizona aient indiqué qu’elles voulaient continuer, sa mission en tant que formateur a été officiellement prolongée. Il dispose d’un délai jusqu’au 20 décembre.


Principaux renseignements

  • Le roi a prolongé la mission de formation de Bart De Wever (N-VA) jusqu’au 20 décembre. Il doit ensuite revenir faire son rapport.
  • De Wever devait se rendre au Palais cet après-midi pour faire un rapport intermédiaire sur sa mission de formateur. Malgré l’absence d’accord (partiel), il jouit toujours de la confiance des négociateurs. Il a donc demandé une prolongation de sa mission.

Les négociateurs fédéraux de la N-VA, de cd&v, du Vooruit, du MR et des Engagés ont vécu des jours difficiles. En l’absence d’une percée et d’un accord partiel, les frustrations se seraient accrues.

Rapport au roi

Bart De Wever aurait donc demandé plus tôt dans la journée à toutes les parties aux négociations s’il pouvait poursuivre sa mission. Peu avant cette consultation, Sammy Mahdi (cd&v) l’a également confirmé à la presse réunie avec un signe de tête éloquent.

C’est avec ce message qu’il s’est également rendu auprès du roi Philippe. Malgré l’absence d’accord (partiel), De Wever lui aurait demandé de prolonger son mandat. Le roi a également accédé à cette demande. Le Palais l’a officiellement confirmé. Le vendredi 20 décembre, De Wever doit à nouveau faire rapport.

Nouveau modus operandi?

De Bart De Wever s’est vu accorder un délai supplémentaire en tant que formateur. Il aura donc une nouvelle chance de trouver un accord sur la question cruciale des réformes socio-économiques. Selon la VRT NWS, il adoptera une approche légèrement différente à la demande des partis Vooruit, cd&v et Les Engagés. Ils souhaitent que des réformes concrètes sur les pensions, le revenu d’intégration, la fiscalité et le marché du travail soient d’abord discutées, avant que les chiffres ne soient inscrits sur la table du budget.

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