Voici Circular Ring, la bague qui veille sur votre état de santé au quotidien

Chaque année se tient le CES, ou Consumer Electronics Show, le plus important salon consacré à l’innovation technologique, qui se tient à Las Vegas. L’occasion de découvrir quelques inventions qui, un jour, peut-être, feront partie de notre quotidien. L’une d’elles en tout cas a retenu l’attention des médias spécialisés dans les sciences, la recherche et la santé. Et puis, elle nous provient de France. Il s’agit d’une bague connectée qui prend en permanence la mesure de votre état de santé.

C’est un marché en pleine croissance : les gens aiment qu’une machine leur confirme qu’elles sont en bonne santé, qu’il s’agisse d’une application ou d’une montre connectée qui scrute leur pouls avec une précision qui défierait l’horloge atomique. Mais la start-up française Circular va plus loin avec sa Circular Ring : une bague d’aspect plutôt sobre, mais plutôt jolie, qui cache des capteurs capables de mesurer plus de 140 paramètres physiques, de la fréquence respiratoire à la température corporelle.

Des données compréhensibles sur votre santé

 « Nous voulons démocratiser la santé personnelle », assure à Futura Amaury Kosman, fondateur de la start-up. « Pendant la journée, la bague détecte l’intensité de votre activité. On a un score d’énergie basé sur votre fréquence cardiaque, votre taux d’oxygénation dans le sang, les variations de température et d’autres données, explique M. Kosman. La nuit, ça continue : on traque les phases du sommeil, combien de temps vous mettez à vous endormir, si vous êtes aligné sur votre rythme circadien, etc. Et le matin, elle vibre pour vous réveiller au bon moment. »

La bague se targue aussi de traduire toutes ces données en un langage compréhensible pour l’utilisateur. « Circular ne vous dit pas juste comment vous allez, mais vous aide à prendre les bonnes décisions et à répondre aux signaux de votre corps de manière plus saine », peut-on ainsi lire sur le site du fabriquant.

La Circular Ring sera mise en prévente dans deux mois, pour une somme estimée à 300 euros.

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