Pour la génération Z, les géants de la tech sont de mauvais employeurs

Selon une étude du New York Times, les nouveaux diplômés de la génération Z ne considèrent plus les grands géants de la technologie comme un bon employeur.

Les personnes nées entre 1996 et 2010 appartiennent à la génération Z. Les premières personnes cette génération sont maintenant diplômées et recherchent du travail. Elles ne le feront pas dans les grandes entreprises technologiques. L’éthique commerciale de ces grands magnats joue contre eux, selon une étude du journal américain The New York Times.

Des scandales à répétition

Ces dernières années, il y a eu suffisamment de scandales autour de ces grandes entreprises technologiques. Par exemple, Google aurait protégé un dirigeant accusé d’inconduite sexuelle. Le scandale entourant Cambridge Analytica continue également de hanter l’autre géant de la technologie, Facebook.

En conséquence, les recruteurs de Facebook signalent à CNBC que le taux d’acceptation des ingénieurs de Facebook a chuté de 40%.

Culture d’entreprise

De nombreux talents sont ainsi perdus. De nombreuses personnes de la génération Z disent qu’elles considèrent la responsabilité sociale d’une entreprise comme importante dans la recherche d’un emploi. Elles quittent également une entreprise si celle-ci ne répond pas à leurs normes.

Pendant longtemps, Google et Facebook ont offert à leurs employés de bons suppléments, tels que des repas gratuits et même des massages. Mais la page se tourne. Pour les diplômés des meilleures écoles américaines, Google, Amazon et Facebook ont toujours obtenu des scores élevés dans les dix meilleurs lieux de travail.

Des start-up détendues

Les emplois à Wall Street restent très populaires auprès de l’élite tout juste diplômée des États-Unis. Les start-ups technologiques créent une atmosphère plus détendue. Au fil des ans, Wall Street a lentement adopté cette idée.

Bien que Google et Facebook se soient tous les deux retrouvés dans le top 10 des meilleurs lieux de travail sur LinkedIn et Glassdoor, le prochain groupe de diplômés pourrait être moins enclin à opter pour les entreprises technologiques.

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