À un peu plus d’un an des Jeux olympiques, Paris fait le ménage, et surtout de la place : tout ce qui peut accueillir des travailleurs olympiques ou des touristes est réquisitionné. Les Parisiens prévoient de partir en masse, mais pas sans en profiter, eux aussi. Un acte à la limite du geste de résistance.
Louer à 6.000 euros la semaine et quitter la capitale : la revanche des Parisiens face à l’organisation des Jeux olympiques
Pourquoi est-ce important ?
"Paris est en fête ! Après un siècle d’attente, la capitale accueille de nouveau les Jeux olympiques d’été" clame le site officiel de l'Office du tourisme de la Ville lumière. L'événement est en effet très attendu, tant pour son aspect sportif qu'en tant qu'occasion pour la France de (re)dorer l'image de sa capitale, en particulier durant un quinquennat qui tient du parcours d'obstacle.À un peu plus de 13 mois de l'ouverture des Jeux olympiques et paralympiques d'été de 2024, c'est déjà le branle-bas de combat dans la capitale française : il s'agit de tout nettoyer, tout rénover, et de présenter la plus belle vitrine pour un événement sportif de portée mondiale - alors que les JO de Tokyo avaient subi les contraintes de la pandémie.
Des logements réquisitionnés
Or la question du logement est incontournable : ça sera une vraie course de fond pour trou
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