Des trains qui déraillent, des entrepôts qui brûlent et de la guerre psychologique : les prémices de la grande offensive ukrainienne

La frappe – d’origine toujours inconnue – sur le Kremlin est sur toutes les lèvres, mais il ne s’agira là peut-être que d’une anecdote dans les livres d’Histoire. Car les Ukrainiens semblent intensifier leur travail de sape sur les arrières russes, attaquant les dépôts et sabotant les lignes de ravitaillement. La guerre psychologique a aussi commencé. Reste à voir ce que donnera la mêlée à venir.

Pourquoi est-ce important ?

Ces derniers mots, l'attention générale et médiatique est retombée, sur la situation en Ukraine. Conséquence logique d'un contrôle strict de l'information remontant du front, mais aussi, il est vrai, d'une certaine lassitude en Occident de cette guerre de position. Mais ces dernières semaines, la guerre bruisse des rumeurs d'une grande contre-attaque de printemps des Ukrainiens. Il est vrai qu'on l'attend depuis longtemps. Mais les signes d'activité se multiplient.

Dans l'actualité : alors que l'attaque aux drones sur le Kremlin attire l'attention et déchaîne les passions, d'autres attaques et sabotages se multiplient ces derniers jours du côté russe.

  • Dimanche dernier, on reportait trois frappes massives des Ukrainiens en trois points distincts du front : un dépôt de pétrole près de Sébastopol attaqué par des drones, et différentes agglomérations privés d'électricité près de la frontière, à Belgorod, mais aussi à Nova Kakhovka
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