Principaux renseignements
- La récente interdiction de voyager de Trump suscite l’indignation mondiale et les critiques des citoyens des pays concernés.
- L’administration du président Trump soutient que l’interdiction vise des protocoles de sécurité inadéquats dans certains pays.
- Les diplomates de certains pays touchés, comme la Somalie, sont prêts à dialoguer avec les responsables américains.
Réaction mondiale
La récente interdiction de voyager du président Donald Trump, qui concerne les citoyens de douze pays, a déclenché une tempête de critiques à l’échelle mondiale. Cette politique, qui se justifie par des préoccupations de sécurité, a été accueillie par des accusations de discrimination et fait écho à des batailles juridiques antérieures contre des mesures similaires. Les pays concernés sont déterminés à engager des discussions avec l’administration américaine pour trouver une solution.
Cette mesure, qui rappelle les politiques mises en œuvre lors du premier mandat de Trump, est présentée comme une mesure de lutte contre le terrorisme. L’interdiction vise des pays tels que l’Afghanistan, le Tchad et le Yémen, et doit entrer en vigueur lundi. Alors que l’administration soutient que ces pays ont des protocoles de sécurité inadéquats, les critiques condamnent cette politique comme étant discriminatoire et la considèrent comme une régression par rapport aux politiques abandonnées par le président Biden.
Dialogue avec les responsables américains
Malgré la condamnation générale, certains diplomates étrangers se disent prêts à dialoguer avec les responsables américains. Par exemple, l’ambassadeur de Somalie aux États-Unis s’est montré ouvert aux préoccupations américaines, soulignant les relations de longue date entre les deux pays.
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