Le président du MR, Georges-Louis Bouchez, est sous protection policière depuis environ un mois après que des menaces à son encontre ont été interceptées dans le milieu de la drogue. « Mais je ne veux pas me cacher », déclare-t-il à ce sujet.
Principaux renseignements
- Georges-Louis Bouchez, président du MR, bénéficie depuis quelque temps d’une surveillance policière renforcée.
- Cette protection supplémentaire a été mise en place après que l’organisme antiterroriste OCAD a intercepté des menaces à son encontre.
- Bouchez affirme ne pas se laisser intimider et souhaite s’attaquer au crime organisé dans notre pays.
Anvers et, plus récemment, Bruxelles sont depuis quelque temps touchés par une vague de violence liée aux gangs de drogue. Cela inclut notamment des grenades et des fusillades avec des kalachnikovs. Le nouveau gouvernement Arizona promet de réagir fermement contre ce crime organisé et a inclus des plans concrets à cet effet dans l’accord de gouvernement.
Le milieu de la drogue
L’un des architectes de ces plans est Georges-Louis Bouchez. Non seulement il a participé aux négociations de l’accord de gouvernement, mais son parti fournit également le ministre de l’Intérieur. Ce poste devait initialement revenir à Bouchez, mais a finalement été attribué à Bernard Quintin.
Dans un entretien avec le journal francophone La Libre Belgique, Bouchez exprime sa fierté pour le travail du MR, mais révèle également qu’il est sous surveillance policière renforcée depuis environ un mois. Cela inclut une sécurité accrue à son domicile à Mons et au siège du MR à Saint-Gilles. Des agents de police le suivent également partout, et son chauffeur a reçu une formation pour les situations à risque. Cette surveillance accrue fait suite à des messages interceptés par l’OCAD dans le milieu de la drogue contenant des menaces, qu’ils prennent au sérieux.
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