Principaux renseignements
- Eurostar prévoit de lancer des services ferroviaires directs du Royaume-Uni vers l’Allemagne et la Suisse d’ici le début des années 2030.
- La société vise à proposer des trains directs de Londres à Francfort en cinq heures environ et à Genève.
- Le PDG d’Eurostar se dit confiant dans la réussite du lancement de ces services directs grâce à la collaboration entre la compagnie, les passagers et les gouvernements.
Face à la concurrence pour son dépôt londonien, Eurostar prévoit de nouveaux services. Des trains directs relieront le Royaume-Uni à l’Allemagne et la Suisse. Le PDG d’Eurostar vise un lancement début 2030. Il évoque des conditions favorables et une volonté de croissance.
La confiance d’Eurostar vient d’une hausse de 5 pour cent des passagers l’an dernier. Mais l’entreprise fait face à de nouveaux rivaux. Ceux-ci veulent entrer sur le marché Grande-Bretagne-France. L’ORR, régulateur ferroviaire, a précisé les limites du dépôt de Temple Mills. Il peut accueillir un seul opérateur de plus, ou une extension d’Eurostar.
Obstacles avant le service
La nouvelle génération de trains sera plus performante. Elle gérera des systèmes complexes et de longues distances. Cependant, Eurostar reconnaît des défis. Il faut gérer les contrôles aux frontières, l’infrastructure des gares et la coordination des horaires. Malgré cela, le PDG reste confiant. Le succès viendra de la collaboration : Eurostar, passagers et gouvernements.
Évolution du secteur
Cet optimisme est renforcé par un accord récent. Le Royaume-Uni et la Suisse ont signé un protocole. Il vise des services ferroviaires directs entre eux. Le chiffre d’affaires d’Eurostar a augmenté de 2 pour cent. Il atteint 2 milliards d’euros en 2024. Le nombre de passagers sur tout le réseau est de 19,5 millions. La société doit encore choisir le fabricant de ses trains. La commande est estimée à 2 milliards d’euros.
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