‘Le Pentagone a admis avoir détenu et testé des débris d’OVNI’

En réponse à une demande d’information de la part d’un spécialiste des OVNI, le Pentagone a admis avoir détenu et testé des débris provenant du crash d’objets volants non-identifiés, a rapporté The Sun le week-end dernier.

L’auteur et spécialiste en OVNI, Anthony Bragalia, a écrit à la Defense Intelligence Agency (DIA) américaine pour lui demander des informations sur l’ensemble du matériel ‘OVNI’ que l’agence détient, ainsi que les résultats de tous les tests qu’elle a effectués sur ce matériel.

‘Cela pourrait inclure des débris physiques récupérés par le personnel du Département de la Défense comme des résidus, des restes flottants ou projetés, ainsi que des débris d’UAPS (unidentified aerial phenomenon, phénomène aérien non identifié, ndlr) ou d’objets volants non identifiés’, précisait Anthony Bragalia dans son courrier envoyé dès 2017, au titre de la loi sur la liberté de l’information (Freedom of Information Act, FOIA).

Department of Defense/Anthony Bragalia

Des matériaux aux ‘capacités extraordinaires’

Dans sa réponse, la DIA a joint 154 pages de résultats de tests évoquant notamment un mystérieux métal ‘à mémoire de forme’, appelé Nitinol, qui ‘se souvient’ de sa forme originale lorsqu’il est plié ou écrasé.

Ces révélations constituent une ‘admission stupéfiante’ de la part du gouvernement américain, estime encore Anthony Bragalia, qui évoque également d’autres matériaux aux ‘capacités extraordinaires’, notamment celle de rendre des choses invisibles ou de ralentir la vitesse de la lumière.

‘Le Pentagone a admis avoir détenu et testé des débris anormaux d’OVNI’, se réjouit le spécialiste en OVNI. ‘Ils ont pu apprendre certaines choses sur les matériaux de construction qui sont extrêmement prometteurs en tant que matériaux futuristes qui changeront nos vies à jamais.’

Informations censurées

Toutefois, la DIA a estimé que ‘certaines parties de cinq documents doivent être retenues en partie pour ne pas être divulguées’, explique-t-elle dans son courrier, continuant ainsi à dissimuler certains détails sur les matériaux, y compris toute information sur leur origine extra-terrestre.

Department of Defense/Anthony Bragalia

‘Ils omettent des informations sur la composition chimique et élémentaire du matériel ainsi que sur son origine’, regrette Anthony Bragalia. ‘Ils ont également omis les noms des scientifiques impliqués, mais j’ai depuis appris certains de leurs noms et je vais les contacter.’

Et l’auteur et spécialiste en OVNI ne compte pas en rester là puisqu’il a la ferme intention de lancer au cours des mois à venir de nouvelles demandes pour obtenir les informations censurées.

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