Depuis 2008, le cabinet de conseil Kearney classe les grandes villes du monde selon les multiples critères de son ‘Global Cities Report’.
Parmi les différents critères qui permettent de déterminer l’influence relative de ces villes, on retrouve:
- Le nombre de sièges sociaux des entreprises du Fortune 500.
- Le nombre de ‘licornes’ (start-ups d’une valeur de plus d’un milliard de dollars).
- La présence de Bourses.
- La circulation des marchandises dans leurs aéroports et ports.
- La présence d’universités médicales.
- …
À noter: le top 10 de l’édition 2020 (151 villes au total) n’a vu qu’une seule ville grimper au classement.
La Chine continue d’avancer, Pékin gagnant 4 places pour se placer au 5e rang, tandis que Shanghai passe de la 19e à la 12e place.
L’inclusion des licornes parmi les critères a propulsé San Francisco de la 22e à la 13e place. Aucune ville n’a fait mieux.
‘Les villes chinoises font mieux que les autres en termes d’activité commerciale et de capital humain’, affirment les auteurs.
Bruxelles se classe 12e, soit une perte de 2 places ; Amsterdam se classe 23e, soit une perte de 3 places.
Perspectives de mondialisation des villes
Un autre classement, le Global Cities Outlook, examine lui le potentiel futur des villes à défier les leaders actuels. Figurent notamment sur cette liste Londres, Toronto, Singapour, Tokyo ou encore Paris. Le top 10 ne comprend aucune ville américaine.
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