Principaux renseignements
- Bart De Wever a proposé un nouveau plan d’austérité de 10 milliards d’euros pour équilibrer le budget de la Belgique d’ici 2030.
- Les négociations concernant les réformes du marché du travail et des pensions, ainsi que l’impôt sur les plus-values, se poursuivent.
- Un accord reste difficile à trouver, ce qui soulève la possibilité d’une démission de De Wever si aucun consensus n’est atteint d’ici jeudi.
Les négociations budgétaires se poursuivent, mais de nombreux doutes subsistent. Le cabinet fédéral restreint s’est séparé lundi soir sans parvenir à un accord. Des sources présentes lors de la discussion ont déclaré à VRT NWS que la proposition de De Wever n’était pas convaincante.
Des discussions entre les cabinets auront lieu ce matin et cet après-midi, et le cabinet du gouvernement fédéral se réunira à nouveau à 16h30. C’est remarquablement tard compte tenu de l’échéance qui approche, mais certains vice-premiers ministres ont des obligations parlementaires plus tôt dans la journée.
Proposition de De Wever
Le premier ministre Bart De Wever cherche à obtenir un accord sur un plan d’austérité d’au moins 10 milliards d’euros, en plus des efforts décrits dans l’accord de coalition, afin d’équilibrer le budget d’ici 2030. En outre, les questions en suspens de l’accord d’été, telles que les réformes du marché du travail et des pensions, et l’impôt sur les plus-values, sont abordées.
De Wever avait initialement prévu une réunion de trois jours ; le cabinet restreint se réunira donc à nouveau mardi après-midi, après avoir rempli ses obligations parlementaires. De Wever a déclaré qu’il ferait rapport au Roi au Palais jeudi si un accord n’était pas trouvé. Cela suggère une démission potentielle, bien que le roi ne soit pas obligé de l’accepter.
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