L’impact économique pervers des manifestations en Iran

Deux nouvelles personnes ont été pendues en Iran samedi pour avoir participé à des manifestations contre la suppression des droits de l’homme. Parmi eux, un champion national de karaté. Entre-temps, quatre personnes ont déjà été exécutées en République islamique. En outre, 500 personnes sont mortes dans les émeutes et 20.000 ont été arrêtées. Une recette de succès pour la calamité économique, qui a remarquablement généré un effet pervers.

Pourquoi est-ce important ?

L'Iran est un autre exemple de sanctions économiques produisant l'effet inverse de celui désiré : favoriser une petite élite et empêcher un changement politique fondamental.

Dans l'actu : Cela fait maintenant plus de 100 jours que l'Iran se plie aux protestations croissantes contre le régime voyou des ayatollahs. Ce sont surtout les jeunes qui descendent dans la rue. Ils ne veulent plus vivre sous les règles religieuses strictes de la République islamique.

Les conséquences : Les protestations et les émeutes ont un effet économique pervers sur les prix de l'immobilier.

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