Le « momentum » derrière l’hydrogène vert continue de croître, mais le déploiement trop lent des incitations financières et les pressions sur les coûts pourraient retarder les projets à long terme, selon un nouveau rapport de l’AIE.
L’AIE : il est temps que les gouvernements saisissent le plein potentiel de l’hydrogène vert
Pourquoi est-ce important ?
L'adoption d'hydrogène à faibles émissions reste limitée alors que cette source d'énergie pourrait jouer un rôle essentiel dans la lutte contre le changement climatique. Il se distingue de l'hydrogène gris par sa fabrication, créé à partir de sources d'énergies renouvelables, et non des énergies fossiles. Il permet ainsi de décarboner des secteurs industriels difficilement électrifiables et offre une solution pour gérer l'intermittence des énergies renouvelables. Il est de plus intégrable à l'infrastructure existante et est associé à la capture de CO2.L'essentiel : Le nombre de projets d'hydrogène à faibles émissions produit à partir de l'électrolyse ne cesse de croître, relève l'Agence internationale de l'énergie (AIE).
- De 700 MW fin 2022, la capacité des électrolyseurs pour la production d’hydrogène pourrait atteindre 2.000 MW (2 GW) d’ici fin 2023, soit l'équivalent de 2 centrales nucléaires. Mais ce n'est que le début.
- Et si tous les projets annoncés se réalisent, y compris ceux qui sont au tout début de le
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