Georges-Louis Bouchez et Conner Rousseau : la fin d’un soap, et des exigences

‘Bromance’ ! Le président du MR et du sp.a se sont rencontrés hier autour d’un verre d’eau. Gazeuse pour l’un (rouge), plate pour l’autre (bleu). De quoi faire coup double : enterrer la hache de guerre et faire un coup de com’. De manière plus significative, le jeune président socialiste a posé quelques conditions aux négociations.

Après quelques échanges d’amabilités par médias interposés, les deux jeunes présidents, critiqués pour leur ‘manque de responsabilité’ face à la crise, ont coupé court: leur relation parfois difficile n’entachera pas ‘la recherche de solutions’ pour le pays, commente GLB.

‘Il n’a pas toujours été sympa avec moi, mais le pays s’effondre. Je veux des solutions et dialoguer’, rétorque le président des socialistes flamands.

Le plan com’ écrit, on va pouvoir passer aux choses sérieuses. La réponse du sp.a à la proposition de coalition faite par le trio MR-Open VLD-CD&V, avec la N-VA et le cdH, avec ou sans le PS, qui sera alors dos au mur.

Conner Rousseau a déposé une note de départ de négociation avec l’une ou l’autre exigences à faire déguerpir un libéral, fût-il centriste: un impôt sur la fortune et les multinationales, aucune taxe supplémentaire sur les biens de consommation et un renforcement des soins de santé.

Un jeu partout. Service au trio.

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