Principaux renseignements
- Des avions israéliens lancent des frappes aériennes visant des sites du Hezbollah à Beyrouth.
- Les attaques ont semé la panique parmi les habitants et ont été fermement condamnées par le président libanais Joseph Aoun.
- Le Hezbollah réagit en menaçant de riposter, ce qui aggrave les tensions dans la région.
Des avions israéliens ont lancé des frappes aériennes dans la banlieue sud de Beyrouth, ciblant des sites prétendument utilisés par le Hezbollah pour stocker des missiles à guidage de précision. Il s’agit de la troisième attaque de ce type depuis l’entrée en vigueur d’un accord de cessez-le-feu fin novembre, ce qui suscite des inquiétudes quant à son efficacité et à la stabilité régionale. Les frappes ont causé d’importants dégâts, notamment la destruction d’un hangar de fortune contenant des camions brûlés.
L’apaisement des tensions
Bien qu’aucune victime n’ait été signalée dans l’immédiat, les attaques ont semé la panique parmi les habitants et ont suscité une vive condamnation de la part du président libanais Joseph Aoun. Il a appelé à une intervention internationale pour faire pression sur Israël afin qu’il cesse ses attaques. Le Hezbollah a réagi en menaçant de riposter, ce qui a encore aggravé les tensions dans cette région déjà instable.
Justification d’Israël et préoccupations régionales
Israël a justifié les frappes en affirmant que les actions du Hezbollah constituaient une violation de l’accord de cessez-le-feu en accumulant des armes de pointe. L’incident a considérablement renforcé les craintes d’une reprise du conflit dans la région.
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