Vendredi, le Comité de concertation annonçait la fermeture de tous les commerces non essentiels. Derrière ce mot, quelques incertitudes. Le ministre des PME David Clarinval (MR) a précisé sur les réseaux sociaux quels magasins pouvaient rester ouverts.
- Les magasins d’alimentation, y compris de nuit.
- Ceux d’alimentation pour les animaux.
- Les pharmacies.
- Les magasins de journaux, les librairies.
- Les stations services et fournisseurs de carburants.
- Les laveries automatiques et les services de nettoyage à sec.
- Les magasins de télécommunications (sauf pour les magasins qui vendent uniquement des accessoires) et sur rendez-vous.
- Les magasins de dispositifs médicaux pour les urgences.
- Les opticiens.
- Les magasins d’assortiment général de bricolage qui vendent principalement des outils et des matériaux de construction.
- Les magasins de peinture.
- Les jardineries, les pépinières, fleuristes et magasins de plantes.
- Les commerces de détail spécialisés qui vendent des tissus d’habillement, fils à tricoter et articles de mercerie.
- Les magasins en gros destinés aux professionnels, uniquement au bénéfice de ces derniers.
- Les blanchisseries.
- Les garages, limités aux services de dépannage et de réparation, et les magasins de bicyclettes, limités à l’entretien et aux réparations.
- Les prestataires de services indépendants.
- Les syndics.
Tous les autres commerces doivent fermer leurs portes. La fermeture débute ce lundi 2 novembre, avec une réévaluation de la situation au 1er décembre.