Germany first : les belles paroles d’Olaf Scholz pour l’Europe ne sont pas suivies d’actes

La confiance en l'Allemagne s'effrite au sein des États membres. La volonté allemande de tirer l'Europe vers le haut et d'en être le meneur de jeu se heurte à la réalité des faits. La crise énergétique actuelle ne fait que le démontrer.

Au premier rang des reproches, il y a bien sûr ce plan d'aide à 200 milliards d'euros. C'est un fait que Berlin n'est pas la seule capitale européenne à mettre en place un plan de soutien aux ménages et aux entreprises. Mais l'enveloppe accordé

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