L’avenir de l’UNESCO dépend de sa nouvelle direction


Principaux renseignements

  • Khaled el-Enany, universitaire égyptien, et Firmin Édouard Matoko, économiste congolais, sont en compétition pour diriger l’UNESCO.
  • Les deux candidats souhaitent relever les défis financiers auxquels l’UNESCO est confrontée en raison du retrait des États-Unis.
  • El-Enany propose de renforcer les programmes culturels tandis que Matoko prône l’utilisation de la technologie pour résoudre les problèmes.

L’élection prochaine du directeur général de l’UNESCO oppose un universitaire égyptien à un économiste congolais. Khaled el-Enany, ancien ministre égyptien du tourisme et professeur d’antiquités, est en concurrence avec Firmin Édouard Matoko, connu pour son travail de promotion de l’éducation dans les camps de réfugiés.

Réformes proposées

Cette élection cruciale survient alors que l’UNESCO fait face à d’importantes difficultés financières suite au retrait des États-Unis, entraînant un déficit budgétaire substantiel.
Les deux candidats ont présenté des projets de réforme. El-Enany met l’accent sur le renforcement des programmes culturels, tandis que Matoko propose de tirer parti des solutions technologiques pour relever les défis de l’agence.

Le conseil exécutif de l’UNESCO votera bientôt, recommandant soit El-Enany, soit Matoko comme directeur général. L’assemblée générale du mois prochain prendra la décision finale.
Chaque candidat apporte une expérience différente et une vision pour revitaliser l’organisation réputée pour sa préservation des sites du patrimoine mondial. (uv)

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