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En Belgique, le secteur pharmaceutique est une fois de plus le secteur le plus attractif sur le marché du travail

En Belgique, le secteur pharmaceutique est une fois de plus le secteur le plus attractif sur le marché du travail
Getty Images

La société de recrutement Randstad, active à l’échelle mondiale, livre les résultats de sa dernière étude sur l’attractivité des secteurs professionnels. En Belgique ou à l’échelle mondiale, les résultats divergent, mais pas de gros changements au programme.

L’essentiel : pour la 22e fois sur 23 éditions, le secteur pharmaceutique décroche la palme du secteur le plus attractif sur le marché du travail en Belgique, avec 47,8 % des voix.  

  • On note un écart en hausse par rapport à la deuxième position (+3,6 %).
  • L’aéronautique (44,2 %) et les médias (43,5 %) complètent le top 3.

À l’échelle mondiale 

C’est le secteur des technologies de l’information et de la communication (TIC) – tout ce qui se rapproche de l’informatique, de l’audiovisuel, du multimédia, d’Internet et des télécommunications – qui décroche la palme, avec 62 % des votes des sondés.  

  • Il revient ainsi à la tête du classement après s’être fait brièvement évincer par l’ingénierie en 2022.
    • En comparaison, le secteur des TIC arrive à la quatrième place en Belgique.
  • En deuxième et troisième position, avec 60 % des voix, on trouve l’ingénierie et l’automobile, qui enregistre une progression de 6 % depuis 2021.
  • Les secteurs des biens de consommation courante et des sciences de la vie viennent compléter le top 5, avec une croissance de 4 et 5 points de pourcentage depuis 2022.

Remarque : Randstad note que l’écart d’attractivité entre les secteurs au sommet du classement mondial se réduit.

Des différences notables en fonction des régions

  • En Europe, les employés classent le secteur automobile à la première place (47 %) pour la deuxième année consécutive.
  • Pareil en Amérique latine, avec 72 %.  
  • En Amérique du Nord, c’est l’ingénierie qui occupe cette place avec une plus grande affirmation (61 %).

Manque de compétences : l’étude de Randstad montre également que la plupart des personnes interrogées estiment ne pas disposer des compétences nécessaires pour travailler dans leurs secteurs de prédilections.

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