La décision inattendue de Bart Dhondt de démissionner de son poste de président après moins d’un an a plongé le parti Groen dans une nouvelle crise. À l’approche des nouvelles élections présidentielles, les rumeurs vont bon train. Qui osera relever le défi de sortir le parti de l’ornière ?
Principaux renseignements
- Groen doit chercher un nouveau président après le départ surprise de Bart Dhondt.
- Les dirigeants du parti se sont réunis en début de semaine, mais pour l’instant, personne ne s’est encore ouvertement porté candidat.
- Le processus d’élimination progressive impliquera l’arrêt des importations de gaz naturel liqué
- La dirigeante bruxelloise Elke Van den Brandt a toutefois indiqué qu’elle se concentrait actuellement entièrement sur la capitale.fié russe d’ici à la fin de 2026 et de gazoduc d’ici à la fin septembre 2027.
Lundi matin, les dirigeants du parti se sont réunis au siège du parti pour une réunion de crise. L’ordre du jour était clair : définir la procédure pour l’élection du nouveau président et serrer les rangs. Le départ de Bart Dhondt, qui était de plus en plus critiqué en interne et dans les médias pour son manque de visibilité, met en évidence un problème douloureux.
Depuis que la figure de proue Petra De Sutter a troqué la politique nationale contre le prestigieux poste de rectrice de l’université de Gand, Groen n’a plus de visage. Le parti est non seulement à la recherche d’un nouveau leader, mais aussi d’un nouveau souffle.
Van den Brandt se désiste, Watteeuw hésite
L’un des noms les plus souvent cités dans les couloirs était celui d’Elke Van den Brandt. La politicienne bruxelloise jouit d’une grande estime, mais elle a immédiatement mis fin à toutes les spéculations dans l’émission Terzake. « J’aime beaucoup mon parti, mais je dois assumer mes responsabilités à Bruxelles. Je ne suis pas candidate », a déclaré Van den Brandt.
Maintenant que la piste Van den Brandt est fermée, tous les regards se tournent vers Gand, le bastion historique du parti. L’échevin Filip Watteeuw est considéré comme un poids lourd, mais il reste pour l’instant sur la touche. En marge d’une conférence de presse à Gand, il a répondu de manière évasive à la question de savoir s’il se présenterait à la présidence. Selon Watteeuw, il est « beaucoup trop tôt » pour se prononcer à ce sujet et ses déclarations publiques ne sont pas encore à l’ordre du jour.
D’autres personnalités ont également gardé le silence lors d’un entretien avec VRT NWS, même si Jeremie Vaneeckhout et Stefaan Van Hecke, entre autres, n’ont pas dit « non ».
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