Bonus pour ceux qui souscrivent à une obligation d’État via MeDirect

Il est de nouveau possible en septembre de placer une partie de votre capital dans une obligation d’État via la banque en ligne MeDirect. Ceux qui le font recevront une prime de 0,5 % de la part de l’institution financière.

Contexte : À partir du 5 septembre, vous pouvez souscrire aux nouvelles obligations d’État.

  • La période de souscription commence le lendemain de l’échéance du capital de l’ancienne obligation d’État à un an, également appelée bon Van Peteghem. À ce moment-là, pas moins de 22 milliards d’euros d’épargne seront libérés.
  • Avec l’émission de deux nouvelles obligations d’État, dont l’une avec une durée d’un an, le gouvernement espère attirer une partie de cet argent. La durée de la deuxième obligation d’État est de dix ans. L’Agence de la Dette annoncera bientôt les coupons.
  • La période de souscription se termine le 12 septembre pour ceux qui passent par le Service des Grands Livres. La date limite est prolongée jusqu’au 13 septembre pour ceux qui souscrivent via une banque.

Bonus pour ceux qui investissent dans une obligation d’État via MeDirect

Dans l’actualité : MeDirect est, depuis cette année, l’une des banques où vous pouvez investir votre argent dans une obligation d’État.

  • La banque en ligne offre même une prime de 0,5 % aux investisseurs en obligations d’État. Cette prime est nette, car elle est versée dès octobre sous forme de cashback en guise de récompense pour l’inscription.
    • La prime s’applique à tous les investissements jusqu’à 250 000 euros (par client).
    • De plus, il doit s’agir de nouveaux fonds entrant chez MeDirect. « Pour cela, nous comparons la relation client à celle du 24 août », explique le directeur Alain Moreau dans une déclaration à Guide-épargne.be.
  • « Lors des deux précédentes émissions d’obligations d’État, nous avons offert une prime de 0,20 %. Cela a bien fonctionné car la première fois, 9 % des souscriptions aux obligations d’État sont passées par nous. La deuxième fois, c’était même 12 %. C’est bien au-delà de notre part de marché naturelle. Nous réussissons donc à attirer de nouveaux clients, et c’est notre objectif. Cette action nous coûte moins cher qu’une campagne à la radio ou à la télévision », conclut Moreau.
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