Le Parti travailliste britannique présente ses six engagements pour les prochaines élections au Royaume-Uni


Principaux renseignements

  • L’augmentation des impôts n’est pas le projet actuel de Sir Keir Starmer.
  • Le Parti travailliste a pris six engagements pour améliorer le niveau de vie et d’autres domaines d’ici 2029.
  • La chancelière Rachel Reeves a augmenté les dépenses publiques, financées en partie par des impôts plus élevés.

Politiques et budget du Parti travailliste

Sir Keir Starmer a déclaré lors d’une récente interview qu’il n’envisageait pas d’augmenter encore les impôts avant les prochaines élections générales, même s’il a reconnu que des circonstances imprévues pourraient l’exiger. Cette déclaration fait suite à un discours dans lequel M. Starmer a énoncé six engagements visant à améliorer le niveau de vie, à construire de nouveaux logements, à réduire les retards dans les hôpitaux, à améliorer l’éducation de la petite enfance et à promouvoir les initiatives en matière d’énergie verte. Ces objectifs doivent être atteints d’ici 2029, date prévue des prochaines élections.

Réactions politiques et critiques

M. Starmer a reconnu que sa popularité avait baissé depuis les élections générales de juillet, ce qu’il attribue à l’accent mis par son administration sur les « décisions difficiles » jugées nécessaires à l’amélioration de la situation nationale. Il a souligné son engagement en faveur d’un leadership transparent, opposant son approche à celle des politiciens du passé qui faisaient des promesses creuses.

Dépenses publiques et impôts

Chancelière Rachel Reeves avait précédemment annoncé une augmentation significative des dépenses publiques, partiellement financée par une hausse des impôts. Alors qu’elle a rassuré les entreprises contre de nouvelles hausses d’impôts, le ministre des affaires Jonathan Reynolds a offert une position moins définitive sur l’imposition future des entreprises. M. Starmer a réitéré son engagement en faveur de la responsabilité fiscale, soulignant que le récent budget abordait des questions essentielles et évitait les augmentations d’impôts récurrentes.

Les critiques des conservateurs à l’égard du Parti travailliste

La chef de file des conservateurs, Kemi Badenoch, a critiqué les engagements de M. Starmer, estimant qu’ils témoignaient de l’impréparation du Parti travailliste à gouverner. Elle a notamment souligné l’absence de plans concrets concernant le contrôle de l’immigration, une question clé soulevée par Sir Keir mais pour laquelle il n’existe pas d’objectifs quantifiables.

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