Le ton a changé en Europe. Après les intentions, place à la réalité. Se priver du gaz russe est une chose, en assumer les conséquences en est une autre. L'Europe se fragmente sur la question de la baisse de la consommation.
L'Union européenne veut réduire ses importations de gaz russe de deux tiers d'ici la fin de l'année. Un objectif ambitieux qui oblige les États membres à trouver d'autres sources d'approvisionnement, mais aussi à remplir leurs stocks stratégiques le plus rapi