La Belgique achète pour 79 millions de dollars de missiles Hellfire aux États-Unis


Principaux renseignements

  • Les États-Unis ont approuvé la vente à la Belgique, pour un montant potentiel de 79 millions de dollars (68 millions d’euros), d’un maximum de 240 missiles Hellfire.
  • Cette vente renforce les capacités antiterroristes de la Belgique et s’aligne sur les objectifs de la politique étrangère américaine en Europe.
  • La Belgique intégrera de manière transparente les missiles Hellfire dans sa flotte existante, ce qui améliorera considérablement ses capacités de frappe de précision.

Les États-Unis ont approuvé la vente potentielle de 240 missiles Hellfire (AGM-114R2) à la Belgique, ainsi que des équipements et services de soutien connexes, pour un coût estimé à 79 millions de dollars (68 millions d’euros). Cette décision a été annoncée par l’Agence de coopération pour la sécurité de la défense (DSCA), qui a notifié le Congrès américain de la vente proposée.

Equipements de soutien

Le paquet comprend non seulement les missiles eux-mêmes, mais aussi un ensemble complet d’éléments de soutien. Ces éléments comprennent l’ingénierie et l’assistance logistique, les communications et l’équipement de formation, les munitions et les pièces de rechange, la documentation et les services de soutien du programme.

Cette vente est conforme à la politique étrangère et aux objectifs de sécurité nationale des États-Unis en renforçant la sécurité de la Belgique en tant qu’allié de l’OTAN. La DSCA souligne que cette acquisition renforcera les capacités antiterroristes de la Belgique, en s’appuyant sur son expertise existante dans l’utilisation de systèmes d’armes air-sol avancés grâce à ses avions de chasse F-16 et F-35.

Intégration sans faille

L’agence est confiante dans la capacité de la Belgique à intégrer de manière transparente ces nouveaux moyens dans ses forces armées. Les missiles Hellfire devraient améliorer considérablement les capacités de frappe de précision de la Belgique.

Lockheed Martin Corporation, basée en Alabama, sera l’entrepreneur principal de ce programme. Bien qu’aucun accord de compensation ne soit actuellement en place, tout accord de ce type serait directement négocié entre la Belgique et Lockheed Martin.

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