Après que l'organisme européen de protection de la vie privée a créé en avril un groupe de travail sur ChatGPT, les régulateurs mettent les mains dans le cambouis pour trouver au plus vite des lois pouvant encadrer les utilisations de l'intelligence artificielle générative, en pleine explosion depuis le lancement du chatbot d'OpenAI.
L'essentiel : Les organismes de surveillance européens se démènent pour ne pas être largués par la fulgurante expansion de l'IA, menée par ChatGPT