En Russie, tout qui critique la guerre en Ukraine risque désormais de perdre ses biens

 Dans une remarquable escalade de la répression, la Douma russe a présenté un projet de loi qui permettrait la saisie des biens de ceux qui critiquent la guerre en Ukraine. Une manifestation alarmante de l’emprise autoritaire croissante du Kremlin sur la société russe. Cette évolution, qui constitue une menace pour la liberté d’expression et les droits de propriété, illustre la volonté du gouvernement de réprimer la dissidence.

Pourquoi est-ce important ?

Ce projet de loi reflète une intensification des efforts du gouvernement russe pour réprimer la dissidence, notamment dans le contexte de la guerre en Ukraine. En restreignant la liberté d’expression et en menaçant les droits de propriété, le Kremlin fait un pas inquiétant vers un contrôle autoritaire accru.

À la une : le projet de loi bénéficie du soutien des principaux partis russes. Il devrait donc être adopté. La proposition cible les individus accusés de "discréditer l’armée russe". Elle cible également sur ceux qui appellent à des sanctions contre la Russie, rapporte The Guardian.

  • Les journalistes qui publient des reportages sur la guerre qualifiés de "fausses nouvelles" risquent de perdre leurs biens. Notamment leur maison et leur voiture.
  • Viatcheslav Volodine, pré
Cet article est uniquement disponible pour nos abonnés Premium
Accédez à trois articles gratuits par mois !
Business AM est le média belge qui vulgarise l’économie. Rejoignez notre communauté de plusieurs millions de lecteurs chaque mois.
Oui, je veux avoir accès à 3 articles Premium
Vous préférez vous abonner tout de suite ? Cliquez ici
Déjà abonné? Connectez-vous et recevez l’accès à tous nos articles Premium.
Plus d'articles Premium
Plus