Conner Rousseau (Vooruit) à propos de la super-note très discutée : « Se battre jusqu’à ce que le contenu soit meilleur »

Conner Rousseau, président de Vooruit, admet que son parti n’est pas d’accord avec la super-note remaniée du formateur Bart De Wever. Dans une brève réponse, il affirme qu' »un certain nombre de choses » sont bonnes, mais qu’il continuera à négocier sur d’autres points.


Principaux renseignements

Conner Rousseau (Vooruit) a déclaré qu’il continuerait à « se battre » jusqu’à ce que la super-note de De Wever soit « meilleure sur le fond ».
Il fait référence au fait que son parti n’était pas vraiment satisfait de la dernière version de cette super-note.
Selon lui, c’est une bonne chose que les salaires nets des travailleurs augmentent, mais il y a encore d’autres points à travailler.


Bart De Wever (N-VA) a présenté sa super-note socio-économique renouvelée en tant que formateur vendredi. Peu après, il s’est avéré que Vooruit en particulier avait beaucoup de critiques à son égard. Par exemple, certains points avaient été ajoutés à la demande de Georges-Louis Bouchez (MR), alors que Rousseau s’attendait à des concessions de son côté.

Points positifs et points de travail

Réagissant à cela, Rousseau a déclaré mercredi à VTM Nieuws ce qu’il considérait comme de bonnes choses dans la note. Ce faisant, il a également évoqué le salaire net plus élevé pour les personnes qui travaillent, un point qui a fait l’objet d’une fuite mais qui n’entrera en vigueur qu’en 2027.

Rousseau a ensuite réitéré la demande de Vooruit de « répartir équitablement les efforts ». Il faisait ainsi référence à la demande de Vooruit pour que les « épaules fortes » contribuent davantage. Cette demande est en partie reprise dans la super-note avec l’impôt sur les plus-values, qu’il inclut dans une version édulcorée sous le nom de contribution de solidarité.

Date limite

« Les problèmes sont là pour être résolus », a-t-il déclaré en réponse à l’approche de la date butoir du 31 janvier. « Mon travail consiste à rester optimiste et à me battre jusqu’à ce que les choses s’améliorent sur le fond. Nous devons avoir un accord, nous voulons qu’il y ait un accord. »

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