Est-ce un problème de vouloir coacher ses enfants à partir du plus jeune âge en tant que parent afin de leur donner les meilleures chances de réussir dans la vie? Le New York Times estime que non, bien qu’il y ait des limites. Le journal esquisse, sur base de la recherche en psychologie, le profil des parents idéaux.
Ils sont impliqués, réceptifs et fixent des objectifs ambitieux, tout en respectant l’autonomie de leurs enfants. Ce type de parents élève des enfants qui réussiront plus tard mieux que les autres sur le plan académique, psychologique et social.
Les jeunes enfants sont plus motivés à faire des choses de plus en plus difficiles si leur talent et leur intelligence ne sont pas excessivement applaudis. Ces enfants relèvent des défis afin de les surpasser (et pas afin d’être applaudis), indépendamment du résultat attendu.
Cela stimule la motivation, la confiance en soi, le sens de la réalité, l’établissement d’objectifs et rend les enfants plus heureux.
… d’écrire leurs dissertations ou de les appeler sans cesse pour les surveiller. Une fois que vous avez enseigné quelque chose à votre enfant, votre travail se termine là. Une intervention supplémentaire est contreproductive.
Le punir ou le rattraper à chaque fois qu’il tombe est clairement une erreur. Il en va de même plus tard.
Les bons parents savent distinguer les moments où ils peuvent avoir confiance en leur enfants et les moments qui méritent un accompagnement plus actif. Le développement de leurs enfants en dépend.
Ce n’est pourtant pas la bonne attitude. Apprendre de ses erreurs et tolérer les échecs rencontrés sur la route vers le succès est ce qui rend les enfant, comme les parents véritablement heureux.
– chaleureux,
– a de l’autorité,
– permet l’indépendance,
– ne fait pas usage de moyens psychologiques comme la honte et la culpabilité,
– a confiance en ses enfants,
– montre l’exemple des valeurs qu’il souhaite inculquer à leurs enfants et
– offre un environnement cohérent et sûr.