Selon les résultats d’une nouvelle étude réalisée en Grande-Bretagne, 77% de ceux qui gagnent plus de 50 000 livres par an (56 927 euros) font leurs courses alimentaires dans des magasins de hard discount tels qu’Aldi et Lidl, comparé à 73% des ménages au revenu de 15 500 livres (17 641 euros) ou moins.
Selon les résultats d’une nouvelle étude réalisée en Grande-Bretagne, 77% de ceux qui gagnent plus de 50 000 livres par an (56 927 euros) font leurs courses alimentaires dans des magasins de hard discount tels qu’Aldi et Lidl, comparé à 73% des ménages au revenu de 15 500 livres (17 641 euros) ou moins.
Dans l’ensemble, 89% des Britanniques font leurs courses chez des revendeurs de hard discount, les jeunes adultes en tête : 93% des 16-24 ans sont allés chez un revendeur discount dans les 3 derniers mois.Nick Carroll, analyste chercheur chez Mintel, commente que « les foyers à haut revenu sont tout aussi susceptibles de faire leurs courses dans des magasins de hard discount alimentaires que ceux à plus faibles revenus. Le succès post-récession des principaux vendeurs discount alimentaires s’est fondé sur l’assouplissement de leurs origines en hard discount, pour apporter une plus grande variété qui plaît à un plus grand nombre de consommateurs.Une partie de ce succès est dû à l’introduction de plus de gammes premium, qui a clairement du succès chez les acheteurs ».Selon Mintel, le total des ventes devrait augmenter de 57% d’ici 2022 pour atteindre 41 827 livres, soit 11,4% de toutes les ventes au détail. Nick Carroll ajoute : « Avec des perspectives économiques à court terme incertaines, le secteur est bien placé pour réaliser des gains supplémentaires et capitaliser sur le désir probable des consommateurs de réduire leurs dépenses. »