Principaux renseignements
- Les syndicats italiens ont lancé une grève nationale pour protester contre le budget proposé par le Premier ministre Giorgia Meloni.
- Les syndicats affirment que le budget a un impact négatif sur les conditions de vie et de travail, en particulier sur les groupes vulnérables.
- Malgré les nouvelles dépenses, les critiques soutiennent que le budget ne finance pas suffisamment les secteurs essentiels tels que les soins de santé et l’éducation.
Une grève à grande échelle a débuté en Italie, visant les plans budgétaires du gouvernement du Premier ministre Giorgia Meloni. Le secteur public est fortement touché par les arrêts de travail, affectant les écoles, les hôpitaux, les services postaux et les transports publics dans certaines villes.
Opposition au projet de budget
Organisées sous la forme d’une « grève générale » par les syndicats, les manifestations expriment une forte opposition au projet de budget. La plus grande fédération syndicale d’Italie, la CGIL, affirme que les plans auraient un impact négatif sur les conditions de vie et de travail des Italiens, en particulier sur les travailleurs, les retraités, les jeunes et les femmes.
Critiques sur le financement
Malgré l’inclusion de 18 milliards d’euros de nouvelles dépenses, la CGIL critique l’insuffisance des fonds alloués à des secteurs cruciaux tels que les soins de santé, l’éducation, les soins aux personnes âgées, les logements abordables et les transports publics. Le syndicat considère également que certaines des mesures proposées sont fragmentées et inefficaces.
Le gouvernement de coalition de droite de Meloni est au pouvoir depuis trois ans. Les rapports indiquent que le budget sera discuté par la chambre basse du Parlement la semaine prochaine avant d’être transmis au Sénat pour approbation finale d’ici la fin de l’année.
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(ns)

