Principaux renseignements
- Ce matin, la Belgique est parvenue à un accord sur Gaza et Israël.
- Cet accord prévoit également la reconnaissance de la Palestine.
- Le président du MR, Georges-Louis Bouchez, souligne que notre pays ne reconnaîtra la Palestine que si le Hamas libère tous les otages et renonce au pouvoir.
La voix de la raison a prévalu, selon Georges-Louis Bouchez, le président du MR. Il a précisé que la reconnaissance de la Palestine par la Belgique était soumise à certaines conditions. Bouchez a souligné ces conditions dans une déclaration en ligne.
⚠️ La voie de la raison a été entendue.
— MR (@MR_officiel) September 2, 2025
📌 La Palestine ne sera légalement reconnue par la Belgique que lorsque les otages auront été libérés et que le Hamas aura totalement quitté le pouvoir. Une prime au terrorisme n’aurait pas été acceptable. Les CONDITIONS sont claires.
🇪🇺… pic.twitter.com/EDvi9h44sN
Conditions pour la reconnaissance
Premièrement, la libération de tous les otages n’est pas négociable. Deuxièmement, le Hamas doit renoncer à son emprise sur le pouvoir. Bouchez s’oppose fermement à toute idée de « récompenser le terrorisme », qu’il juge inacceptable.
Il a également expliqué que les sanctions économiques ne seraient efficaces que si elles étaient mises en œuvre au niveau européen. Cette approche unifiée, telle que stipulée dans l’accord de nuit, garantit une réponse plus efficace. Si le volet commercial de l’accord d’association est soumis à la juridiction européenne, il n’en va pas de même pour l’interdiction d’importer des produits originaires des territoires occupés.
Bouchez a également souligné l’intention de la Belgique de demander le déploiement d’une force de maintien de la paix de l’ONU à Gaza. Cette mesure vise à protéger la population civile et à donner la priorité aux besoins humanitaires et à la paix.

