Maxime Prévot (Les Engagés) est optimiste pour l’Arizona : « Des discussions constructives »

Les négociations pour l’Arizona se déroulent de manière « constructive » et « orientée vers les résultats ». C’est ce qu’a déclaré le président des Engagés, Maxime Prévot. Il reste donc optimiste quant à la conclusion d’un accord d’ici le 31 janvier.


Principaux renseignements

  • Le président des Engagés, Maxime Prévot, est optimiste quant aux chances de succès de l’Arizona dans les dernières semaines avant l’échéance du 31 janvier.
  • Il reconnaît toutefois qu’il reste de nombreux compromis à trouver.
  • Ce faisant, Prévot a également souligné qu’il souhaitait que les « épaules les plus solides » contribuent davantage.

Après 218 jours de négociations, les présidents des partis MR, Les Engagés, N-VA, Vooruit et cd&v travaillent à une échéance. En effet, il a été convenu que le 31 janvier, ça passe ou ça casse. Si aucun accord n’est conclu d’ici là, le formateur Bart De Wever (N-VA) mettra fin à sa mission.

Ainsi, aucun sujet difficile n’a été évité depuis le début de l’année. Une entreprise risquée, mais qui semble bien se dérouler pour l’instant. Les négociateurs sont donc optimistes quant aux chances de succès de l’Arizona.

23 milliards d’euros

Au micro de la radio BX1, Maxime Prévot reconnaît qu’il y a encore beaucoup « d’idées différentes » dans les négociations et que cela donne lieu à des « moments de tension ». Mais il affirme aussi que l’on travaille à la conclusion d’un accord.

La grande difficulté reste l’aspect financier. Après tout, l’Arizona veut économiser 20 milliards d’euros et cherche également 3 milliards d’euros supplémentaires pour de nouvelles politiques. « Nous devons trouver 23 milliards en mettant en œuvre des réformes structurelles. Nous cherchons des solutions intelligentes pour cela. Les réformes ne sont pas populaires, mais elles sont nécessaires ».

Cependant, la question de savoir où trouver cet argent fait toujours l’objet de discussions au sein de l’Arizona. Prévot semble favorable à l’idée de taxer davantage les « épaules les plus solides ». Conner Rousseau (Vooruit) a également insisté à plusieurs reprises sur ce point. Georges-Louis Bouchez (MR), on le sait, est moins enthousiaste sur ce plan, même s’il a adouci son langage ces dernières semaines.

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