Principaux renseignements
- Le partenariat de WeRide avec Uber marque sa première incursion dans une plateforme mondiale, élargissant sa portée au-delà de la Chine.
- Cette collaboration représente une nouvelle étape vers l’intégration des robotaxis dans le réseau de services existant d’Uber.
- WeRide a la particularité d’être la première et la seule entreprise des Émirats arabes unis à avoir obtenu une licence nationale pour les véhicules autopilotés.
Uber Technologies et WeRide ont uni leurs forces pour introduire des véhicules autonomes sur le marché du covoiturage, en commençant par les Émirats arabes unis. Cette collaboration marque la première incursion de WeRide sur une plateforme mondiale, élargissant sa portée au-delà de la Chine.
Expansion des services Robotaxi
Pour Uber, ce partenariat représente une nouvelle étape vers l’intégration des robotaxis dans son réseau de services existant. L’entreprise a récemment élargi ses partenariats avec Waymo et Cruise pour lancer des services de robotaxis dans certaines villes américaines.
Nouveaux développements et défis
La collaboration d’Uber avec WeRide devrait être déployée à Abu Dhabi dans le courant de l’année. WeRide a la particularité d’être la première et la seule entreprise des Émirats arabes unis à avoir obtenu une licence nationale pour les véhicules auto-conduits, ce qui lui permet de tester et d’exploiter des robotaxis sur les routes publiques du pays.
Plans financiers et restrictions
WeRide prévoyait initialement une introduction en bourse aux États-Unis qui aurait pu valoriser l’entreprise jusqu’à 5 milliards de dollars, mais les plans d’introduction en bourse de WeRide ont été reportés. L’entreprise se concentre actuellement sur la finalisation de la documentation en vue d’une future cotation.
Politiques du gouvernement américain
Entre-temps, l’administration Biden a proposé des restrictions qui empêcheraient les constructeurs automobiles chinois de tester des voitures auto-conduites sur les routes américaines. Ces interdictions s’étendraient également aux logiciels et au matériel produits par d’autres nations considérées comme des adversaires par les États-Unis, notamment la Russie.
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