Un paradoxe surprenant : l’énergie solaire dans le désert nécessite de grandes quantités d’eau, qui n’existe pas

L’énergie solaire dans les zones désertiques présente un paradoxe surprenant : elle nécessite de grandes quantités d’eau pour son entretien. Ce qui remet en question son étiquette « durable ».

Pourquoi est-ce important ?

Cet entretien des infrastructures photovoltaïques gourmand en eau dans les zones désertiques révèle un dilemme crucial dans la transition énergétique durable. Il met en évidence à quel point des ressources essentielles telles que l’eau et l’énergie sont inextricablement liées et comment cette relation peut influencer l’empreinte environnementale des technologies vertes.

La poussière et le sable nécessitent un nettoyage régulier

Dans l'actu : la péninsule arabique semble idéale pour des centrales photovoltaïques à grande échelle comme celles des États du Golfe. Là bas, il y a environ 3.400 heures d'ensoleillement par an. Soit nettement plus que les 1.600 heures en Allemagne et les 2.900 en Espagne. La région offre donc une opportunité unique pour l'énergie solaire.

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