Après près de douze ans de service, Werner Hoyer remettra bientôt son tablier de président de la Banque européenne d’investissement. En attendant de connaître le nom de sa successeuse, il a tenu un discours lors de l’Assemblée générale de l’ONU.
Quand le président de la BEI appelle l’Europe à ne pas tomber dans un « colonialisme 2.0 » en menant sa transition verte
Pourquoi est-ce important ?
Pour mener à bien leur transition verte, les pays européens sont engagés dans un périlleux exercice d'équilibriste. Ils doivent éviter qu'une transition hâtive ait des effets indésirables sur le court terme (prix, blackout) et s'assurer de ne pas être trop dépendant des autres pays. D'une part en évitant de se mettre en position de faiblesse face à de grandes puissances (la Chine, au hasard) qui pourraient en profiter par la suite pour les faire chanter. D'autre part en ne répétant pas le schéma déjà usité qui les conduisent à léser les pays les plus pauvres.Vous souhaitez être tenu au courant de tout ce qui se passe dans le monde de l’énergie ? Abonnez-vous ici à notre newsletter afin de ne manquer aucun de nos articles.
Dans l'actu : le discours de Hoyer à l'ONU.
- Ce jeudi, le président de la Banque européenne d'investissement s'est exprimé dans le cadre de l'Assemblée générale des Nations unies.
- Werner Hoyer a vanté tous les mérites de la transition verte, tout en mettant les Européens en garde.
De bie
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