Après 6 mois de conflit, il n’y a pas encore d’alternative aux engrais russes, mais voici les pistes envisagées

Avec la guerre, l'approvisionnement en engrais, dont une grande partie vient de Russie, est devenu plus compliqué, et les prix sont montés en flèche. L'Europe est toujours à la recherche d'alternatives, qui ne se trouvent pas en un claquement de doigts. De quoi craindre pour la prochaine récolte?

Le 24 février, l'armée russe lançait son offensive pour envahir l'Ukraine. Six mois plus tard, l'Europe subit surtout les conséquences économiques de cette invasion. Il y a d'abord la peur

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