Françoise Schepmans (MR), le bourgmestre de Molenbeek, estime que la polémique entourant la burkini est surfaite et que cela reste, pour le moment, un phénomène marginal. A la côte belge, le bourgmestre n’en a pas vus. Par contre, à Molenbeek un phénomène l’interpelle depuis des années et celui-ci prend de l’ampleur depuis plusieurs années : les fillettes de 7-8 ans qui arborent déjà le voile dans l’espace public.
Françoise Schepmans (MR), le bourgmestre de Molenbeek, estime que la polémique entourant la burkini est surfaite et que cela reste, pour le moment, un phénomène marginal. A la côte belge, le bourgmestre n’en a pas vus. Par contre, à Molenbeek un phénomène l’interpelle depuis des années et celui-ci prend de l’ampleur depuis plusieurs années : les fillettes de 7-8 ans qui arborent déjà le voile dans l’espace public.
« C’est un phénomène qui prend de plus en plus d’ampleur avec les années qui est apparu il y a six ans. Aujourd’hui, de plus en plus de fillettes mais vraiment des enfants qui à l’âge de sept ans, huit ans portent le foulard islamique dans la rue, dans l’espace public et donc c’est un signe de formatage, de volonté d’imposer déjà un choix à ces enfants dès le plus jeune âge », a expliqué Françoise Schepmans dans une interview sur Bel RTL.
Dialogue avec les eprésentants de la religion musulmane
Le foulard est interdit dans les écoles mais comme il s’agit de l’espace public, on ne peut rien faire, a-t-elle ajouté.
Le bourgmestre de Molenbeek plaide pour un dialogue avec les représentants de la religion musulmane afin de leur expliquer qu’ils doivent transmettre le message que distinguer les enfants dès le plus jeune âge n’est pas souhaitable.